Vente à l'Agora (PV Amisu)

Invité

Une journée pas comme les autres s'appretaut à commencer... en effet, aujourd'hui j'ai décidé de faire occupé mon espace de vie par un esclaves que j'irai acheter cet après-midi a l' Agora Dorei'...
Comment je vois mon futur esclave? Mhh... jpeut importe le sexe, du moment qu'il ou elle puisse s'occuper des taches ménagère, savoir se battre ou bien … bref, quelqu'un qui poura m'être utile...
Ce matin, j'avais recu la visite d'un ami, maître lui aussi. Il me disais qu'un esclave doit être un esclave, ne pas lui accorder de place sociale plus importante. D'ailleurs, son esclave est une femme sans doute violé tout les jours... sans doute il considère son esclave comme un vulgaire objet. Ca me répugne, ça! Moi mon esclave je le considererai comme mon bras droit... si il sait se battre.

Bien!! Le temps presse! Il est déjà 2h, c'est l'heure d'aller chercher mon esclave!
Arrivé à l'Agora Dorei', je vis tout d'abord une masse de gensgroupé autour d'une cage, sans doute un esclave qui peut très bien servir ou un truc comme ça... mais si je m'appretais à l'acheter, cela reviendra à trop cher. Pour ma part, je suis allé dans une partie de l'Agora plutôt calme, ou il n'y avait pas trop de population.

Excusez moi, vous! Je cherche un esclave ou est ce que je peux trouver... non, laissez tomber, je poserai les questions moi même!

Je me demande pourquoi j'ai adressé la parole à ce type qui s'occupe de la vente... Tiens, d'ailleurs je crois que j'ai trouvé ce que je cherchais : pa loin de là, je vois une jeune fille dont les cheveux son noir, violet... Je m'approcha de sa cage, et m'accroupi devant elle.

Yo jeune fille, dis moi, tu sait faire quoi?

Sans vraiment attendre sa réponse, j'enchaine avec les questions suivantes :

Tu sait manier une arme à feu? Une épée? Tu sait te défendre?

Invité

Encore une journée à moisir dans cette cage dure, froide et étroite. Le maître que j'attend ne viendra-t-il donc jamais ? Quelques uns s'étaient intéressés à moi, mais j'eus vite fait de les repousser, car je voyais bien qu'ils n'avaient pas l'intention de m'accorder de l'importance. Cela m'avait couté quelques coûts de fouet mais je n'y fit pas attention, tant je suis lasse de cette souffrance éphémère. Ma douleur intérieure était bien plus grave. Mes doutes me hantaient encore. Des souvenirs me revinrent en mémoire. Ces jours où je ne cessais de courir avec ma mère, pour semer nos ennemis. Je me souviens qu'elle m'avait appris à manipuler les armes à feu. Il vallait mieux si on tenait à sa peau. Je m'y amusais beaucoup, d'ailleurs. Dommage que tout cela ne soit plus que des souvenirs.

*Tiens, et si c'était celui-là ?*

Je viens d'apercevoir un homme au visage sombre arriver dans le secteur où je me trouve. Est-ce ma chance ? Son expression ne me rassure pas. Il s'approche.

-Eh, ma petite ! Que dirais-tu de me servir ?

Son regard me terrifie. Je n'aime pas ça.

-Je le ferais volontiers si vous vouliez bien m'accorder de l'importance. Promettez-vous de me respecter ?

Pour toute réponse, je reçois le fouet. L'homme me lance alors un regard méprisant.

-Idiote ! Crois-tu vraiment pouvoir recevoir un tel honneur de ma part ? Tu es esclave et tu le resteras toute ta vie, je ne vois pas l'intérêt de t'accorder un quelconque respect.

Sur ce, il s'en va. Encore raté. Décidement, ces maîtres sont tous les mêmes. Ils ne nous voient que comme des esclaves et pour eux, esclaves = objets remplaçables. C'est révoltant, mais que peut-on faire ? Cela m'attriste. Je me recroqueville au fond de ma cage et attend patiemment.

Plus tard, en début d'après-midi, j'entend une voix m'interpeller.

-Yo jeune fille, dis-moi, tu sais faire quoi ?

Je relève alors la tête. C'est un homme de grande taille, avec des lunettes de soleil. Amusant. Mais... Est-il comme les autres ? Contrairement à eux, celui-ci ne m'effraie pas. Je n'ai pas le temps de répondre qu'il enchaîne :

-Tu sais manier une arme à feu ? Une épée ? Tu sais te défendre ?

Une arme à feu ? C'est peu commun, comme demande. Mais je ne peux pas le laisser sans réponse. J'espère juste ne pas avoir perdu la main, depuis la dernière fois que j'ai utilisé une arme.

-J'employais une arme à feu, autrefois. Je dois surement pouvoir encore m'en servir. C'était nécessaire pour pouvoir survivre, là d'où je viens. Je sais faire aussi une bonne partie des tâches domestiques, mais je vous préviens, il m'arrive d'être maladroite. S'il faut, je suis prête à apprendre pour vous servir au mieux. Mais dites-moi, Monsieur, avant toute décision, je voudrais savoir...

Je marque un temps d'arrêt. Vais-je encore être fouettée pour insolence ?
-...je voudrais savoir si vous comptez m'utiliser en vulgaire esclave remplaçable à tout moment, ou si vous m'accorderez de l'importance comme tout être vivant en ce monde ? Vous me trouverez sans doute insolente, mais, si vous acceptez de me prendre, je vous en prie, donnez-moi une valeur. Je ne veux pas être un objet, je ne veux plus...

Je ne peux retenir une larme. Je me sens un peu honteuse. M'ouvrir ainsi, alors que j'ignore s'il voudra de moi, c'est risqué et surtout ridicule. J'attend une réaction, une réponse. Les doutes ne me quittent pas l'esprit. Ai-je enfin droit à ma chance ?

Invité

La jeune fille releva la tête pour me répondre : elle a ffectivement utilisé une arme à feu autrefois (je m 'en étais douté!), elle me dit aussi qu'elle sait faire les taches ménagères et d'autres choses si je lui apprend... elle commence à m'interessé celle la!

Je vois...

Oui je vois ce qu'elle veut dire, je vois aussi des traces de fouet sur son corps... elle continua son discours en me demanda comment vais-je la traité si je l'achète. Sa demande était accompagné de tristesse, elle pleurait. Marre d'être traités de vulgaire objet, être enfin considéré comme un être vivant... c'est ce qu'elle cherche sans doute.

Insolante! Tu recommence avec ces histoires!

L'homme qui s'occupait d'elle prépara son coup de fouet, je ne pouvais pas laisser frapper cette jeune fille encore une fois! Dans un geste brusque mais rapide, je sortis mon pistolet silencieux de ma veste et le pointa sur la tête de l'homme au fouet.

Ne t'avise pas de la frapper, sinon mon doigt va déraper!

Ouaiiiiis, dans le feu de l'action j'ai encore sortie une nouvelle rime!...
Enfin, l'homme posa son fouet, appeuré.

Moi même j'aime pas les gens qui traite les esclaves commes des objets! Dis moi, tu t'apelle comment? Moi je suis le Vangis Alexander.

Elle commencait à me plaire cette fill pour plusieurs raisons : D'abord pour savoir manier une arme, faire les taches ménagère etc. De plus, elle est courageuse, elle sait qu'elle va se faire fouetter si elle demande aux maitres de lui accorder de l'importance. M'enfin bref, je sent que je vais l'acheter.

Invité

J'ai encore du mal à comprendre d'où me viens une telle confiance à m'ouvrir envers cet homme que je ne connais pas. il n'empêche que j'en suis heureuse, et je le suis encore plus en le voyant me défendre du fouet. Cela m'a d'abord surprise, mais visiblement je l'intéresse, et dans le bon sens. Serait-ce un miracle ? J'admire son arme tout en l'écoutant. Cela fait bien longtemps que je n'en avais vu d'aussi belle. Si je vais avec lui, aurais-je droit de pouvoir de nouveau manier ce qu'autrefois j'appelais mes "jouets ? Je n'ose y croire..

-Moi même, j'aime pas les gens qui traite les esclaves commes des objets ! Dis-moi, tu t'apelles comment ? Moi je suis le Vangis Alexander.

A présent, j'en suis presque certaine. Je dois me retenir pour ne pas pleurer, non de tristesse cette fois, mais de joie. Oui, la joie. Enfin, je la ressent à nouveau. J'affiche un sourire et lui répond :

-Je m'appelle Amisu, Monsieur. A votre service !

J'hésite encore à citer mon nom. Les souvenirs qui y sont liés me font encore mal. Il va me falloir du temps. Pardon Maman, mais comprend-moi. La chance semble m'être enfin revenue, je ne dois pas la laisser filer. Un jour, je criai notre nom avec fierté, mais ce sera plus tard. En attendant, la joie m'est revenue et je prend plaisir à le montrer en agitant ma queue.

Invité

Cette jeune fille au cheveux noir / violet, s'appelait Amisu. De plus, je venais à peine de remarquer qu'elle est une néko, ce qui ne me déplaisa pas.
Je fit un signe de la main au vendeur qui arriva quelques secondes après, je donna un coup de paume à la cage et lui ordonna de l'ouvrir.

Ouvre moi ça! Je l'achète!

L'homme semblait heureux, pour avoir gagné son argent et de s'être « débarassé » d'un esclave en plus. Il ouvrit la cage, Amisu sortit. Je lui donna ce que je lui doit et nous nous éloignâmes de la cage maintenant vide.

On part d'ici, je n'aime pas l'air de cet endroit.

Puis je lanca un petit regard à mon esclave, qui se demandait sans doutes ou l'on allait.

On va chez moi!

Je ne la connaissait pas vraiment, à part qu'elle son nom, je n'ai aucune information sur elle. Mais toutes ces questions je les gardes pour plus tard, je ne vais pas l'enchainer de questions dés sa sortie de cage. Enfin bref, nous nous dirigeâme maintenant vers ma demeure, ma magnifique villa!

» Amisu...[finit]
» Bienvenue dans la villa (suite de l'achat d'Amisu)