Vente d'Eri à Ludwig [TERMINER]

Ma journée commença dans mon lit, où deux jeunes magnifiques créatures gisaient endormies. J'eus un sourire en repensant à cette nuit, laquelle était, dois-je dire, torride! Mais bon, je me lasse vite de ces créatures fantastique dont leurs seules utilisations est de me faire plaisir ou d'être revendu (suivant leurs races) en tant qu'esclave. N'est-ce pas formidable, que de posséder ces créatures aux formes plus qu'enivrantes? Enfin je me levais, soulevant la couverture, entrevoyant leurs corps nus, j'allais directement à la salle de bain.
Je pris une douche pour enlever toute cette transpiration que j'eus la nuit dernière, je fermais les yeux, sentant l'eau dégouliner sur tout mon corps. Après m'être laver, je sortis de la salle de bain avec pour simple habits une serviette cachant la majestueuse bête démoniaque qui avait encore faim.
J'allais devant ma grande armoires sculptés artisanalement en bois de chêne, choisis un caleçon avec des flammes où l'on pouvait lire « the boss of love » puis des esclaves arrivèrent (toutes des filles bien évidemment) avec ma grande armure, elles m'habillèrent, je ne pu me retenir d'en caressé quelque unes et leur baisant divers parties de leur corps que je pouvais atteindre facilement (surtout le cou et les bras). Une fois prêt, j'allais directement à mon lieux de travail, sans prendre le temps de manger car j'avais toujours de quoi me mettre quelque chose sous la dent là-bas.

La journée commençait bien, le soleil montrait quelques rayons lumineux apportant chaleur, il y avait déjà du monde à la boutique. Je me dépêchais de passer dans mon office pour prendre note des visites d'aujourd'hui, commandes, etc. Puis je sortis faisant affaire avec mes habitués et livreurs, après quoi je vis un jeune homme arriver dans la grande place, scrutant quelques fois les esclaves présentent en magasin. Il avait une apparence respectable, lui aussi était un démon, je l'avais ressenti car nous dégagions une chose en commun. Je le salua de la meilleur façon qu'il soit et l'interrogea directement.


Je vous souhaite la bienvenu dans le plus grand marché d'esclave qu'est Agora Dorei'. Je suppose que vous êtes venu ici pour faire un achat, permettez-moi de me présenter:Je suis Hakunetsu Kagao illustre vendeur d'esclave dans tout Atlanta City. Pour pouvoir mieux vous conseillez, je vais vous poser plusieurs questions.


Pendant qu'il décryptait l'esclave qu'il envisageait d'acheter, nous marchions devant les cages où résidaient les femelles humaines. Toutes aussi sulfureuse les unes que les autres, d'âges et de morphologies diverses, et oui il faut de tout pour bien vendre. Lors de sa description, des noms me vinrent à l'esprit, Asumya, Elizabeth, Eri, Antoinette, Kizuku et Mirabella. Hum … cela lui laisse un bon panel, tous de différentes couleurs de peau et de morphologies bien distinctes et bien entendu humaines. Je m'arrêta prêt des cages où résidaient les esclaves que j'avais pré-sélectionné. Je le regardais droit dans les yeux, une mains sur le menton, je lui posais la question fondamentale pour tout achat d'esclave.


Mais dîtes moi Monsieur Silgrid van Abgrund, pourquoi voulez-vous acheter une esclave? Répondez franchement, sans faut détour, de toute façon je le saurai.


Cette question déterminera l'accord de l'achat, il faut savoir si cette personne mérite ma permission pour avoir une esclave ou non. Et oui, vous croyez que c'était si facile que ça d'acheter un(e) esclave. Et bien non, c'est moi qui décide de tous ici, et fort heureusement car nulle personne n'a le droit de s'approprier un(e) esclave sans cet accord. Pourquoi? Parce que je ne les vends pas à n'importe qui! C'est bien cela qui distingue les maîtres des autres personnes vivants dans ce monde qu'est Atlantica! Alors, Silgrid van Abgrund , méritez-vous de posséder un tel privilège que d'avoir une esclave?

Eri, simple humaine dans sa cage, regardait dans l'allée pour savoir qui était cet inconnu qui semblait aussi sûr de lui que Kagao lui-même. A les écouter, ils étaient chacun des caractères décidés et forts. Elle attendit et vit alors cet inconnu avancer. Une chose était indéniable, il avait du charme, une présence masculine. Eri, qui n'avait pas été touchée depuis plusieurs jours, en imagina tout de suite des rêves érotiques, sans pouvoir s'en empêcher. Ça la fit d'ailleurs rougir un peu. Quand le maître-client regarda vers Eri, celle-ci détourna un peu le regard. Elle ne savait que penser, torturée par son imagination qui travaillait en même temps aux scénarii catastrophes comme aux plus charnels. Elle se tassa un peu et regarda une nouvelle fois vers ce beau maître. Devait-elle quémander son achat? Lui faire de l'œil? Le séduire en montrant ses atours? Et surtout, est-ce que se faire valoir était une bonne idée? Elle en avait assez de ce lieu où elle dormait mal, elle commençait à être cernée et fatiguée. Mais d'un côté, peut-être qu'il valait mieux ne pas être prise. Eri avait l'air gênée et hésitante. Elle tenait sa peluche comme une boule antistress en essayant de penser correctement. C'était si avilissant!

Kagao demanda à son client pourquoi il voulait acheter une esclave. Eri était intéressée par cette réponse. Et cette réponse était édifiante. En fait, Ludwig était plutôt imbu de lui-même, d'une façon plus exubérante que Kagao. Cela rassura Eri qui savait que ce genre de personne, même autoritaire, n'étaient pas si méchante qu'elle ne pouvait paraître. Il voulait également étudier une humaine dans sa vie de tous les jours. Soit, chacun son trip, se dit-elle... Il voulait bien sûr une bonne ménagère. Ce qui attira Eri un peu plus, c'est que ce maître ne comptait pas rester égoïste et voulait faire profiter son esclave de ses talents. A priori, il n'avait pas à mentir. Eri se demanda alors si elle ne pouvait pas intervenir pour que Ludwig s'intéresse à elle.

Tout de même, il avait l'air d'hésiter entre cette fille svelte et grande.... et elle. Cette autre esclave avait l'air inaccessible, fermée. Cette esclave était belle certes, mais Eri savait qu'elle était mignonne! Que pouvait-elle faire? Elle regardait maintenant Ludwig avec un certain intérêt. En fait, elle commençait à avoir peur de rater cette porte de sortie. Et quelle porte de sortie! Si ce maître était aussi doué qu'il le disait, cela pouvait être très avantageux. Elle décida d'en rester à un zieutage par ses grands yeux pleins de charmes. Il ne devait pas avoir l'impression que l'idée de prendre Eri ne venait pas de lui.

Il réfléchissait, eh oui pas banale comme question surtout pour une vente d'esclave. Tout le monde passe par cette question chez moi, il faut dire que chaque réponses étaient différentes en tout point les unes des autres et définissait mon choix. Il me répondit qu'il voulait faire des recherches sur la race humaine, il est vraie qu'elle est très recherchée et promue. Voilà une raison pas banale, rarement on m'a demandé un(e) esclave en tant que sujet d'une recherche enfin hors recherches sexuelles et autres choses plus ou moins net.
Cela me plait, un maître aussi orgueilleux que moi, il me fit rire en disant qu'il était « prince démoniaque », j'eus un petit ricanement à ce moment là. Et comme il est d'une « bonté » aujourd'hui il me faisait grâce de mon « acte déplacé », et bien dit donc, tu n'as ne manque pas d'air. Je ricanais un peu plus fort, mais à qui croit-il parler? Je suis moi même un membre d'une des familles fondatrices, m'enfin, pas le temps pour ces gamineries surement dû à son éducation.
Il souhaitait que son esclave soit compétente en tant que cuisinière, humm il doit bien y avoir Mizuki, Eri et Antoinette qui devaient posséder ces talents. Et il veut lui apprendre beaucoup de chose? Hum intéressant ...


Je regardais les trois cages, la main sur le menton, je me questionnais promptement pour savoir laquelle serait la plus convenable à ce futur maître. Chacune de ces filles possédait quelque chose de particuliers et unique à proposer à leur maître …. Hum ça ne va pas être évident. Je les regardais, certaines se cachaient, d'autre se montraient entreprenantes, et encore d'autres rougissaient. Kizuki, l'une des meilleurs cuisinières de plats japonais traditionnel et très dur à réaliser, excellent dans la danse, la musique, le thé et doté d'une souplesse miraculeuse. Elle a de quoi vous surprendre, surtout dans le plaisir charnel. Eri, très bonne cuisinière aussi, excellent dans n'importe quels plats, sachant faire le ménage bien qu'il est deux trois tâches ou poussière qui traînent encore... Très mignonne, attrayante, hyperactive, débonnaire et curieuse. Humm je me demande si...

Je retournais ma tête vers Ludwig, toujours la main au menton, je le fixais dans les yeux et lui dit d'une voix très directive et professionnelle.


Sachez en premier, que peu importe le statut du maître ou de la maîtresse, prince ou pas prince, cela n'a aucune prise en compte sur la définition du contrat que vous passez avec moi. Votre raison m'a rarement était faite à part pour des recherches plus érotiques, enfin je vous donne déjà mon accord pour acheter une esclave. Ensuite d'après votre demande, il y aurait une esclave humaine qui correspondrait tous plus particulièrement. Elle sera timide au départ avec vous, comme elle l'a été pour moi. Très coquine sur les bord, elle vous en demandera souvent, en cuisine, c'est une cordon bleu un peu dans tous les domaines. Oui, avant même que nous la formions elle savait déjà cuisinier. Et surtout elle a quelque chose que vous devriez aimer plus particulièrement, elle a ce vice naturel qui vit depuis longtemps chez les humains et qui ont souvent couru à leur perte, je veux parler de la curiosité. Vous verrez, je pense qu'elle vous aidera beaucoup pour vos recherches Monsieur Ludwig.


Je lui présentais de ma main, la cage, me baissa à sa hauteur, chercha la clef dans mon trousseau et ouvra la porte de cage. Je lui indiqua qu'il fallait qu'elle sorte pour se montrer à son futur-maître si celui-ci la voulait. Puis je la présentais par son nom.


Voici Kawaero Eri, dix-sept ans tout juste. A petite précision elle est bisexuelle donc si vous voulez en profité avec une demoiselle en plus, cela ne la généra pas. Alors qu'en pensez-vous? Je ne vous oblige en rien, votre choix est entièrement libre.

Eri observait Kagao et Ludwig discuter puis le vendeur se dirigea vers sa cage pour lui ouvrir. Elle obéit et sortit, la mine timide et la joue rougie par ses fantasmes intérieurs. Elle ne disait rien, n'osant prendre la parole et préférant voir ce que le charmant acheteur ferait. Il semblait très intéressé. Il s'approcha et Eri ne put s'empêcher de détourner un peu le regard. Vu la situation, elle était assez prude quand à laisser deviner ses envies, qui se lisaient facilement dans son regard expressif. Elle se laissa toucher par Ludwig en essayant de cacher -certes assez maladroitement- le plaisir que les manipulations de Ludwig provoquaient. Les mains démoniaques caressèrent ses côtes jusqu'aux cuisses, Eri rougit plus fort dés ce premier contact. Elle s'agrippait à cette simple robe blanche pour tenter de se calmer un peu. Ensuite fut venu le tour de sa poitrine jeune et ferme. Elle se mordait la lèvre inférieure, le souffle écourté. Elle n'avait pas eu sa dose depuis des jours la pauvre! Gémissant au coup de doigt sur son téton, elle avait l'air d'une nymphomane en puissance. L'était-elle? Elle ne préféra pas y penser. Elle sentait avec les yeux fermés les mains de Ludwig se promenant sur son corps, stimulant son imagination sans pouvoir empêcher quoi que ce soit. Ludwig arriva enfin au jardin secret de l'humaine, le démon ne fit ni une ni deux et plongea son doigt en elle! Eri eut la réaction de resserrer un peu ses cuisses, en proie à un rougissement de plus en plus marqué. Le futur maître put tout de suite se rendre compte de l'état d'excitation d'Eri. Celle-ci n'avait pas l'habitude de faire ça comme ça, au milieu des autres, à la vue de tous. C'était gênant mais très excitant aussi. Elle ne savait pas où se mettre...

Le doigt sortit et une main se posa sur son intimité, elle ne pouvait pas cacher son état longtemps, resserrant ses cuisses de nouveau, plongeant un regard "s'il vous plaît, c'est gênant" mixé avec "Haaan ouiii" dans celui de Ludwig. Il arrêta ses attouchements et fit relever la tête d'Eri d'un doigt au menton (elle avait baissé la tête de gêne). Eri rougit comme une pivoine sous le regard de Ludwig qui pouvait lire l'envie dans les yeux de l'humaine.

Il dit ensuite certaines choses... Mais ce qui marqua Eri, c'est qu'elle lui plaisait. Il demandait qu'elle se prosterne et lui témoigne son obéissance. Eri eut l'imagination enflammée, le visage ardent et le corps chaud comme la braise. Le manque la faisait dérailler un peu! Eri réfléchit un peu, cherchant dans le regard de Ludwig ce qu'il voulait, d'un regard un peu perdu. Il était dominateur. Eri se mit donc à genoux et entreprit avec un léger empressement de défaire le pantalon de Ludwig...

Une fois les présentations faites, mon client regarda longuement la petite Eri. Elle avait l'air de l'avoir séduit, cela se lisait dans les yeux de Balmung. Il tâta alors la marchandise, appliquant une première fois ses mains sur les côtes de la jeune esclave, ensuite sur sa poitrine, cela devait faire longtemps pour elle, elle rougissait et ressentait du plaisir, comment je le sais? Il n'y a qu'à voir sa réaction, elle respirait plus vite et fort, elle ne bougeait pas et n'osa pas daigné un regard au client. Ça marque un bon point ça, je pense que je vais faire une vente aujourd'hui, il faut dire qu'on l'a bien éduqué, c'est du bon boulot. Je ne prenais pas mal le fait qu'il touche la marchandise, même s'il se méfiait de la qualité de celle-ci, je n'ai rien à craindre, nous sommes les meilleurs vendeurs et traiteurs d'esclave présent en Atlantica. Il vérifia le pays douillet, souple et suave, paradis pour de nombreux hommes et femmes qui ont cette chance eux-aussi de pouvoir pénétrer en cet endroit merveilleux. Eri ne devait plus en pouvoir, ce qui veut dire, qu'elle n'est pas indifférente à son futur maître. Les affaires marchent! Parfait! Enfin il examina de plus prêt les lèvres de l'humaine.

Tout lui paru en ordre, il adressa un monologue à l'esclave, il annonça son attirance envers elle et l'attirance d'elle pour lui, et ba dit donc orgueilleux et observateur à la fois celui-là puis demanda qu'elle se mette à genoux et qu'elle jure fidélité …. première fois que je vois quelqu'un demander sa … mais bon si ça peut lui faire plaisir d'entendre ça. Quel égo pour un seul homme, cela prouve bien que c'est un démon, après tout. Eri a ces mots réagissait instinctivement, se mit à genoux et .. Non j'y crois pas … Elle commençait à défaire le pantalon du client … En pleine place marchande … bon ok ça fait un super coup de pub mais tout de même, ce lieu n'est pas un lovehotel ou une maison close...

Je mis ma main sur l'épaule de la jeune fille, souriant et lui parlant d'un voix relativement calme et posée.


Eri... je pense que ça suffit, je sais que tu as de la foi dans ce que tu entreprends mais bon, tu verra ça plus tard avec ton maître.


Je la fis se relever, puis je me tournais vers Ludwig, affichant un sourire éclatant.


Je pense que vous avez vu jusqu'où va fidélité, vous pouvez lui faire entièrement confiance, pour ma part je peux vous dire, qu'elle n'a jamais voulu partir de ce lieu, du moins pas sans un maitre. Je suppose que l'on peut conclure un contrat maintenant?


J'allais chercher le cahier des charges, revenant avec, je me léchais le doigt, tournant les pages pour arriver au nom de Kawaero Eri. Je pris la page où l'on pouvait voir une photo de la jeune humaine avec sa race, son nom, son poids, sa taille, qualité, défauts, etc avec plein de règles inscrites au dos. C'était les règles qui réformait le contrat, à la fin on pouvait y lire « signature du maître ». Je m'avançais vers Ludwig, lui donnant un stylo. Je demandais gracieusement et poliment à Eri de bien vouloir prêter son dos pour que son maître puisse signer l'acquisition. Sa réponse fut positive et s'empressa de courber son dos. Je posais le fameux papier sur son dos et dit avec un sourire.


Si vous voulez bien vous donnez la peine de signé cet acte de vente. J'espère que vous appréciez le dossier sur lequel vous allez signé.


J'indiquais le prix qui était assez important mais bon c'est une pièce très rare alors … Une fois que tout fut en ordre , je salua une dernière fois Eri et lui demanda de bien se comporter avec son maître. Puis je remercia Ludwig de son achat et lui indiqua avec assurance qu'il n'allait pas regretté la marchandise et que si jamais il rencontrait un problème en tout genre il pourrait revenir et que je m'en chargerais personnellement. Eh oui, il faut toujours accompagné ses clients même si leur achat est déjà fait. Je les raccompagnais devant la grande porte du marché, les saluant une dernière fois.

Eri, stimulée par les mains de Ludwig, avait perdu le contrôle à cause du manque. Était-elle nymphomane? Peut-être. Ce qui était sûr, c'est qu'elle avait un goût immodéré pour le sexe dû à son éducation particulière. Cependant, son idée pour montrer allégeance semblait trop excessive selon les deux démons. Il est vrai qu'autant d'ardeur à ce genre de choses n'était pas très habituelle. D'ailleurs, les esclaves environnants la regardait comme un objet suçant non identifié et les maîtres, eux, louchaient très fortement. Elle sentit Ludwig faire un pas en arrière, quelque peu circonspect, et la main de Kagao sur son épaule. Elle se releva avec obéissance, s'excusant, gênée par sa propre fougue sexuelle. Elle n'imaginait pas être autant en manque...

Kagao alla chercher le cahier des charges et, tout souriant, ce sacré démon qui ne ratait pas une occasion correcte de vendre expliqua à Ludwig où signer, et cetera. Eri courba le dos, rhabillée correctement, pour permettre à Ludwig de signer, lui offrant par cette position une jolie vue sur sa cambrure et autres formes et courbes visibles. Eri s'était calmée, certes, mais avait toujours une envie très grande. Elle souhaita très fort que son maître tout neuf joue au pompier d'ici peu. Elle sentit le nombre de zéros que Ludwig inscrivait sur le papier, à travers sa robe légère. Elle eut des yeux gros comme des soucoupes! Valait-elle si cher? Ça la rassurait... Oui, c'est bizarre mais elle en était presque fière!

Le démon vendeur les raccompagna à la sortie. Eri, ses bagages en main, n'avait que peu vu l'extérieur, même dans son ancienne maison. Les trajets étaient si calculés et stricts qu'elle n'avait finalement pas vu grand chose du monde. Malgré un peu de perturbation, elle se sentait bizarrement bien avec son maître à côté, car elle avait enfin, un lieu où habiter, et un maître sexuellement intéressé. Elle ne pensait pas trop aux autres inconnues pour l'instant.