La tristesse, la peur, la colère, la joie autant d'émotion dans une seul journée. [Pv Hakunetsu Kagao]

Ma journée fut dédiée aujourd'hui à la chasse. Non pas la chasse, on va aller tuer du gibier pour manger ou pour les revendre, mais plutôt, du gibier qui va devenir esclave et qui se revendra à coup sûr très cher. Cette journée était pluvieuse et ombragé, c'est une belle journée pour chassée. Mes hommes de mains étaient déjà partit depuis longtemps et avaient certainement, je l'espère pour eux, attrapé de nombreuses proies et autres viles créatures gambadant tranquillement là dehors dans le monde que l'on pourrait appeler « les terres perdues ». Mes hommes de mains n'étaient jamais venu jusqu'ici à Atlantica, et bien non sinon ils ne pourraient pas partir rechercher d'autres esclave pour moi. Et pour ce qui est du transport, la barque de Charon me rapporte toujours les proies et autres créatures qui se sont égarées en chemin. Quelle dommage pour celle-ci, elles se retrouvent embarquer dans un navire voguant droit vers une grande ville murée, une fois arriver là-bas, deux choses peuvent leurs arrivé, soit la liberté de demeuré dans cette ville et faire une nouvelle vie, soit de venir dans mon antre et de devenir esclave à jamais d'un maître ou d'une maîtresse. Pauvres créatures qui n'imaginent pas un moment tomber dans ce lieu de débauche où tous les vices sont permis bien que quelques enquiquineur viennent y mettre leurs grains de sels.

J'allais à mon lieu de travail où devait m'attendre pleines de nouvelles marchandise qui ne demande plus qu'à être entretenu et éduqué pour être vendu en bonne et du forme. J'entendais quelques sou-fifres rigoler, crier et parler à voix haute. Bien il y a de l'animation, j'espère que c'est bon signe pour mes affaires! J'entrais dans la grande place marchande qu'hébergeait l'Agora Dorei', je voyais mes sou-fifres devant des cages faisant du bruit comme jamais, il me semblait que certains tenaient par le bras une jeune créature. Je marquais fort mes pas, ils se retournèrent, se tuent, me regardaient puis me saluèrent tous un par un pour me saluer promptement. Je m'avançais vers la créature, la regarda un petit moment puis je pris une voix forte et intelligible.


Ahem! Messieurs, pouvez-vous m'expliquer pourquoi une des esclaves est hors de sa cage et que vous la tenez très fort avec grosses mains souillées par votre transpiration??? Est-ce que quelqu'un peut me le dire?!


L'un d'eux enleva son chapeau, le tenant dans ses mains, s'avança un petit peu et prit la parole tous en regardant à plusieurs le sol par honte et peur.


... Eh bien monsieur, cette jeune créature a voulu s'échapper ...


Je portais un regard très froid et haineux à son égard puis j'haussais le ton.


Tu te moques de moi? Bien sûr que ces créatures ont envie de partir au début! C'est votre boulot, vous faites ça tous les deux jours! De quoi avait-vous peur? Moi je vais vous le dire, vous avez peur de votre incapacité de à maîtriser les choses!!!!!

Mais monsieur...

Il n'y a pas de MAIS! C'est votre job! Si vous ne savez pas le faire sans faire de gourde, démissionnez sur le champs!


Tous restèrent dans le silence, regardant le sol, ils savaient qu'ils avaient eu tort, que leur incapacité est quelque chose qui ne doit pas exister dans mon monde. Après quoi j'avais repris mon sang froid, Je regardais à nouveau la jeune créature, elle avait des oreilles de chat, une néko alors. Tiens elle a les cheveux rose pâles, pas commun et des yeux bleu aussi bleu et profond que l'océan. Elle semblait être fortement contrarier, ce qui peut se comprendre. Je m'approchais d'elle, je tenais son menton entre mon pouce et mon index et je lui faisais monter son visage vers moi. Hum vraiment elle a un très beau visage, elle n'a pas l'air malade … Hum.. Bon déjà commençons par la mettre plus à l'aise.


Alors c'est toi la fouteuse de trouble, sache qu'ici c'est moi qui décide de tous sur tous. Alors tâche de te montrer appréciable et obéissante et je t'assure, que tu trouvera cet endroit pas si mal. Bien déjà messieurs veuillez la lâché.


Ils la lâchèrent aussitôt, j'inspectais ses bras, elle avait des marques rouges et des bleus sur ceux-ci... Je pris un air sévère en voyant cela, puis je donna des ordres à mes sou-fifres.


Vous avez vu ce que vous avez fait? Vous avez abîmé la marchande! Cela fais déjà trois erreur par votre incapacité, à la troisième je vous jure que je fais un malheur!!! Allez maintenant amenés les autres esclaves dans leurs cellules et donner leurs à manger! Ils doivent retrouver bonne mine et doivent se reposer, j'espère que je peux compter sur vous pour cette fois! Quant à cette jeune créature je m'en charge.


Tous acquiesçaient et se mirent à la tâche, rapidement la place fut vide. J'étais face à elle, puis je lui parla.


Bon, faisons connaissance toi et moi, après quoi j'irais vite soigné tes bras pour que ces marques disparaissent vite. Je me présente, Hakunetsu Kagao maître de ces lieux. Quel est ton nom? D'où viens-tu?


Il fallait que j'en sache plus sur cette néko pour pouvoir la répertorier dans le cahier des charges, après quoi il faudra bien l'éduqué pour qu'elle plaise aux clients. Etait-ce une perle rare? Ou un perle parmi tant d'autre?, seul l'avenir nous le dira ...

Elle resta longuement silencieuse avant de me répondre, c'était-elle résignée? Avait-elle compris qu'il valait mieux pour elle d'obéir? Je ne pouvais réellement le deviner, ne connaissant que très peu cette néko. Je décidais alors de ne paraître trop dur, il fallait déjà aller la soigner pour ne pas qu'elle s'abime d'avantage, imaginez que sa blessure ne se soigne pas et empire, se serait la catastrophe pour mes affaires. M'enfin ce ne sont que des bleus, cela devrait partir en moins d'une semaine avec le remède, du repos et une nourriture saine. Elle avait pour nom Alina Doll, ok mémorisé, classé et traité.

Passons à la suite, son lieu de provenance, là aussi elle marquant un long temps d'arrêt, je me demandais alors ce qu'elle allait me réponde, réfléchissait-elle a un mensonge ou encore doutait-elle à me donner son origine? Et pourquoi surtout? Alors que je partais dans de longues hypothèses et thèses sur le pourquoi de ce silence si hasardeux, elle me fit les yeux doux puis me répondit, cette réponse me fit sourire, sourire voir ricaner, j'ai rarement entendu cela. C'est bien elle a du caractère, soutenu une part de mystère cette jeune fille. Elle va me donner du fil à retordre mais bon, personne ne me résiste! On fini toujours par m'obéir coûte que coûte.

Nous continuons de marcher, j'allais vers une entrée en voûte, il y avait une porte en fer forgé où l'on pouvait lire « infirmerie ». C'est alors que l'esclave prit la parole d'une voix mielleuse et douce. Elle souhaitait savoir comment se passait les ventes en se lieu. Hum, une curieuse je vois, c'est pas plus mal d'un côté, comme ça elle sait déjà à quoi s'en tenir. Je pris la parole à mon tour essayant d'être le plus simple et compréhensible possible tout en restant droit et strict.


Bonne question Alina, je vais t'éclairer de ce pas. Tout d'abord nous répertorions les noms, races et tout ce qui touche aux caractéristique d'un esclave, pour pouvoir être plus efficace lors d'une vente. Déjà, il nous faut un acheteur potentiel, une fois que celui-ci vient ici, nous demandons ce qu'il veut comme type d'esclave, femme ou homme, la race voulu etc... Après quoi avant de proposer à l'acheteur plusieurs esclaves, je lui demande pourquoi il ou elle souhaite posséder un esclave, suivant la réponse je choisi ou non de lui vendre un ou une esclave. Si jamais la réponse me paraît plausible et justificatrice de l'achat, je lui donne le choix sur les esclaves sélectionner puis je prépare le contrat avec toutes caractéristique de l'esclave et disant que cet esclave appartient désormais à cette personne, le client n'a plus qu'a signé et payé, et il repart avec la marchandise, rien de plus rien de moins. Ah si, nous suivons aussi nos clients après l'achat, si jamais l'esclave devient récalcitrant, je me charges de les remettre dans le droit chemin de la soumission de l'obéissance. As-tu tout compris?


J'ouvrais la porte d'une main, c'était une salle aménagé avec un lit basique, les bases d'hygiènes étaient respecter et on entendait quelques esclaves souffrant de blessure ou de maladie dans la salle juste à côté, on ne pouvait pas les voir car il y avait un long et grand rideau opaque qui cachait la vue. Je lui indiquais de s'asseoir sagement sur le lit, le temps que je prépare une sorte de remède à base de plante. Alors que je commençais à prendre un bol en terre cuite, une sorte de bout de bois arrondit et lissé et quelques plantes classées de leurs noms dans de petits bacs, j'entendis une nouvelle fois la voix d'Alina, elle me demanda cette fois quelles règles étaient à respecté ici bas. Je lui répondis sur le même ton que ma réponse précédente.


Pour les esclaves c'est très simple, respecter toute personne présente en ces lieux et hors de ces lieux. M'obéir et obéir à ceux qui entretiennent et travail en ce lieux et surtout obéir à leur maître lorsqu'ils en ont un. Si l'esclave n'obéit pas, on lui apprend à obéir en utilisant diverses manières, la mienne étant la plus simple, radicale et non douloureuse, physiquement du moins. Les esclaves doivent entre autre bien se nourrir, bien dormir, bien se porter et être compétant dans certaines matières que l'on leur apprend. Cela répond à ta question ou quelque chose d'autre te chiffonne?


Je commençais à mette les plantes dans le bol de terre, murmurant les noms des plantes et leurs propriétés, puis je les écrasais pour que celles-ci puissent prendre la forme d'une pâte non liquide tel de la peinture que l'on appliquerai ensuite sur une toile. On entendait le bruit du bout de bois écrasant les plantes et se choquant contre les parois du bol.

Alina regarder les alentours. Elle n'était même pas encore dans une cage. L'homme qui était devant elle devait être important. Bien sur qu'il les ces le gérant des lieux. Il la regarder toujours, elle avait quelque chose de bizarre sur elle. Ah oui les marques des larbins ! Elle avait un beau petit bleu. Alina suivit l'homme, il l'emmenait à l'infirmerie. Sur le chemin il lui expliqua le fonctionnement de la vente. Il fallait donc un acheteur potentielle, et qui plaise à la jeune néko. Alina regarder certes il avait des gens, des acheteurs potentielle. Alina les trouvées moche, laid. Elle ne voudrait pas repartir avec l'un deux. * Il n'y a que des vieux ici T-T ou des femmes* Alina allait rester ici un bon petit moment. Elle était tellement difficile. Elle regarder le gérant, elle n'avait même pas retenu son nom. Quel honte quand même. Alina marcher dans les pas de l'homme. Elle se fessait très discrète pour l'instant, elle n'avait pas envie qu'un vieux l'accueille et lui dise je te prends avec moi. Cela fut la vison d'horreur pour Alina. Elle suivit toujours l'homme de très près, elle est tellement près qu'elle pouvait sentir son parfum. Il sentait assez bon. Une odeur agréable sens dégager. Ils étaient bientôt arrive à l'infirmerie. Il ouvrit la porte, une odeur infect sens dégagea. Il la fit entrée. Alina avait un haut le cœur. Elle aurait bien aimé sortir d'ici. Il avait un rideau pour séparé les malade alité. Il devait être dans un salle était. Alina ne voulait pas voir l'infirmière. Il lui avait aussi expliquer pour les règles. Cela était simple du moment qu'on lui obéisse et qu'on obéisses au autre. Alors la obéir au larbin hors de question.

Elle devrait aussi obéir à un maitre, faut pour cela qu'elle en trouve un. Alina ne pensée vraiment pas à cela. Pour l'instant elle voulait parti d'ici. Cet endroit pue la mort au rat. Alina se pinça le nez; Et dire que cet endroit doit être propre. Elle redouté le moment de voir l'infirmière. Elle s'imaginer déjà une grosse, tout décoiffer avec plein de bouton. Alina fut surprise, quand elle vit que s'est l'homme qui s'installa. Elle fit de même sur un tabouret, elle le regarder prépara ses mixture. Il devait un peut s'y connaître. On ne sait jamais, elle ne voulait pas laisser son bras à n'importe qui.

Vous êtes médecin?

Ben oui la question était de circonstance. Alina ne savait rien de lui et ne voulais pas savoir grand chose non plus. Alina y tenait à son bras. Son joli bras, enfin quand il n'est pas taché de bleu. Elle aimerait bien s'échapper un peut, mais pour l'instant ce n'est pas possible. Il nommé tout les noms des plante. Alina voulait parti d'ici ou plus vite. Elle n'attendis même pas la réponse à sa question. Elle se leva et lui fit un beau sourie charmeur. Et se dirigea ver la porte de l'infirmerie. Malgré quelle avait un peut mal au bras, elle s'enfuit. Mais avant cela elle lui donna une information.

Pour infos je n'obéis jamais au ordre qu'on me donne. Je me plis jamais au règle.

Elle lui lâcha cette petit info avec voir mielleuse et un peux sensuelle. Alina prit ses jambes à son cou et courut dans la cours. Elle pouvait apercevoir les cages qui était remplis pas tout les autres créature. Il avait des gens aussi elle leur rit au nez. Elle était contente de partir de cette endroit. Mais qui dit que sorti d'ici serai facile, ils avaient déjà des larbins qui lui courrait après. * ils vont me lâcher ses a**** * Alina voulait les semer, mais l'endroit et tellement grands quelle fini pas se perdre. Elle entra dans un cul de sac. Un larbin juste derrière elle.

Alors ma belle tu es coincé

Va te f***f***pauvre c****

Alina n'allait pas se laisser faire comme cela. Loin de la cette idée, elle avait un sacrée caractère, elle joua la carte de la petit fille apeuré. L'homme la prit en pitié et oh un petit cout et elle la somma. Alina sorti du cul de sac. Mais se fit vite repérer pas les autres larbins. Elle se remit à courir.

Alors que j'étais concentré avec les plantes, elle me demanda quelque chose, j'étais tellement pris par ce que je faisais que je ne lui ai pas répondu. Il faut dire qu'avant la guerre, on nous enseigne comment survivre dans lieu hostile, comment se soigné sans médicament sous la main etc. Donc bon je connaissais les petits remède qui pouvait aider à la régénération des cellules pour faire accélérer la cicatrisation ou faire ralentir l'ampleur d'une blessure. Remuant le bout de bois, je l'entendis divulgué des mots, qui me firent sourire, je posais dès lors mon bol, couru dans la cours.


Quelle sotte! De toute façon tu obéira quand même, forte tête ou pas.


Une fois arrivé dans la cours, je scrutais de part et d'autre celle-ci, cherchant l'ingénue sotte, je ne la vis pas tout de suite. J'entendis la voix d'un de mes gardes puis un suite d'insultes qui ne pouvait provenir que de la frêle néko. Elle était dans un cul de sac situé à l'est dans la cours, je couru en cette direction, elle était reparti de celui-ci. Je courais derrière elle, j'allais bientôt pouvoir l'atteindre, une ribambelle de mes sbires firent face à la néko. Elle ne pouvait plus avancer. Alors je l'attrapais par l'épaule, la regarda dans yeux et manipula son corps. Je l'obligeais à avoir un contact visuelle avec mes yeux, je vins vers elle et lui dit d'une voix mielleuse et sadique à la fois.


J'ai voulu être amicale, mais bon on dirait que tu n'aimes pas ça. Alors on va procédé à la manière forte! Tu n'aurai jamais dû tenter de fuir cet endroit, surtout quand je suis là!!!


Je l'emmenais avec moi gardant toujours un contact visuelle avec ses yeux. Je dis à mes larbins de retourner au travail et que je m'occupais personnellement d'elle. Ils rigolèrent tous en entendant cela et me souhaitèrent tous de bon cœur « Amusez-vous bien Patron! ». J'eus un grand sourire rien que de penser à ce que j'allais lui faire. Mon côté sadique prit le dessus, je souriais tout le temps, ricanant par moment. Je l'emmenai dans une salle situé à l'Ouest, la porte était faite en métal renforcé, l'odeur du sang échappait de cette porte. Avant d'ouvrir la porte, je tenais fermement le poignée droit de la jeune effrontée avec ma main gauche. Je lui dit avec des yeux de tueur.


Ne tente rien! Je te jure que si tu essayes de faire quoi que se soit, crois moi que je te briserai les jambes!


Après ces doux mots, j'ouvris la porte avec une clef en fer forgé, qui avait la forme de fouet. Cette clef était encore ensanglanté depuis sa dernière utilisation. J'eus un énorme sourire lorsque j'entendis la porte gémir tel le cri d'un esclave se faisant torturer. En parlant de sa, je comptais bien prendre mon pied. Non je ne la toucherai pas, pas dans se sens là en tout cas bande de pervers! Je préfère une approche beaucoup plus jouissive. J'entrais en maintenant toujours fermement ma main sur le poignée de l'ingénue, je sentais qu'elle résistait mais j'ai bien plus de force qu'elle et je la trainais jusque dans la pièce. Il y avait plein d'instruments de tortures, tous ayant plus moins servit. Connaissez-vous la vierge de fer? Magnifique ustensile de torture, vous mettez une personne dedans, comme un sarcophage et vous refermez, la personne se fera planté partout par des pointes en fers et avec un peu de chance vous verrez la vierge de fer pleuré de sang! Hahhahaaa Mais il y a mieux, le cep romain, c'est une pièce de bois comportant plusieurs trous, par ceux-ci on peut écarter considérablement les jambes pour torturer d'avantage l'esclave voir lui faire des choses pas très catholiques. Et je pourrai encore en cité tels que le tisonnier, le siège à clou, le fouet, les lames etc etc.

Je regardais à nouveau les yeux de la néko, manipulant encore son corps pour ne pas qu'elle résiste, se débatte ou s'enfuit, je fis en sorte qu'elle se tienne bras et jambe ouvertes, derrière elle une structure métallique avec des quatre formes circulaires pour bloquer les poignées et les chevilles, ainsi je la bloqua dans cet structure métallique. Je regardais sur la table les ustensiles que je pourrai utiliser. Avant de faire mon choix, je la regardais complétement piégé, j'eus un rire sadique.


Tu n'aurai pas dû provoqué le grand Hakunetsu Kagao! Bon par quoi allons nous commencer … fouet? Tisonnier? Tu sais il n'est pas encore trop tard, ce serait dommage de devoir t'abîmer mais bon on dirait que je n'ai pas le choix. On verra si tu deviens plus raisonnable

Elle n'avait même pas le temps de dire ouf, qu'un mur de larbin était devant elle. Elle se trouva en cercler, elle n'avait pas de chance malheureusement pour elle. L'homme lavait coursait, elle espérait qu'il avait bien courut après elle. Il l'attrapa vite par le bras, elle lui fit volte face. Son regarder était plonger dans le sien. Il a de grand yeux l'aire de rien. Oh grand méchant loup. Que vous avez de grande dent. En effet elle pouvait voir ses dents. Son sourit n'est pas dépourvue de charme. Un peut carnassier comme. Il a au moins manger ce matin? Alina avait des chance de fini en brochette. * j'espère que j'ai bon goût, quand même* Elle allait surement se faire tué et elle pense à des chose futile. C'est bien les filles ça. Alina suivez par obligation l'homme. Bizarrement il avait prononcer son nom à nouveau. Obéir il pouvait lui faire tout les tortures, elle ne plierait pas d'un pouce. Alina était belle et bien folle. Beaucoup de gens aurai crié au secoure, mais pas elle. Elle prenait un malin plaisir a lui tenir tête. Ben oui tout en marchant il se regarder. L'aire de rien tout cela va fini en cacahouète. Alina touche à peine pied à terre. On pouvait dire qu'il était grand. Il parla d'une voie mielleuse et sadique. Oh que sa voie était belle. Dans un moment pareille tout le monde prend peur, c'est la logique des chose. Du moins qu'est-ce qui est logique dans ce bas monde. Les petit mots doux qu'il avait prononcer était amusant, cela la fit sourire. Mais pour combien de temps. Elle pouvait formuler les son à sa guise surtout quand elle veut modeler les paroles. En gros elle change tout en ce qui l'arrange. Les larbins était las juste à coté. Il l'avait souhait bon amusement. En quoi il allait s'amuser. Alina était de plus en plus curieuse. La curiosité et un vilain défaut, le sais-tu? * Mais où il m'emmène comme cela, il me fait mal au bras* Son bras ou plus tôt son poignet aller être en miette.

Ils étaient bientôt arrivé près d'une chose sens mauvais. Ne odeur de putréfaction. On dirait qu'on a laisser de la viande pourrir à l'intérieure. Monsieur Kagao ouvrit la porte avec une clés en sanglantes . Elle avait la forme d'un fouet. Est-ce son jouée fétiche ? Allez-ton le découvrir. La porte s'ouvrit dans un grincement infernal. Alina n'est pas la première à passer par là. L'odeur des précédente torture était toujours là. Cet endroit à du voir du monde passer. En effet cette salle à du vécu et aller encore vive un moment fort. Il avait de tout, un vrai coin de paradis. Il avait une vierge de fer, les non vierges on le droit d'y aller? Ben oui elle n'est plus vierge depuis longtemps. Où est le temps ou son père l'engueuler car elle batifoler avec les garçons. De plus elle devait être vierge pour le mariage. Alina n'est pas fille à marier et encore moins de tombé amoureuse. Il a des gens comme cela. Elle observer la salle, petit endroit bien rempli. Ce qui gêner un peu Alina c'était l'odeur. Rien que pour cela elle renifla un peut l'odeur de Monsieur Kagao. C'était toujours plus agréable que cette puanteur putride. En deux trois mouvement, elle se retrouva sur une table, emprisonner. Alina regarder toujours Monsieur Kagao avec son sourit sadique. En effet il lui manqué une casse aussi à celui la. Cela rassuré un peu Alina. Un fous de plus sur cette terre. Monsieur Kagao lui proposer des objets, en effet le fouet était son instrument fétiche. Alina regarder encore plus la salle.

En effet il avait tellement de choix. Que choisir, les yeux d'Alina aller partout. Elle regarder le moindre instrument de torture. Tout ici la fessait baver. Elle se demander quand il allait commençais. Alina n'aimait pas attendre, surtout quand on lui dit qu'on va la punir. Elle reporta son attention sur Monsieur Kagao, elle lui fessait les yeux doux, elle avait la larme à l'œil. Bien sur c'était pour savoir si il allait s'y laisser prendre. Mais en attende elle n'avait toujours pas répondu à sa question, de plus elle pouvait se repentir. Se repentir mais pourquoi faire. Alina ne savait pas quoi choisir. Elle allait prendre le fouet, comme cela, elle lui fait plaisir. N'empêche cela est étonnant qu'on lui propose pas la cire de bougie et autres truc. De plus elle n'est pas nu. Où est l'intérêt à torturé une personne si celle-ci n'est pas nue franchement.

Hum le fouet, vous conviens ?

Alina sourit, après tout il pouvait changer. C'était lui le patron soit disant. Alina afficher toujours son petit regarder de petit fille, mais cette fois-ci les larmes couler vraiment, du moins des larmes de crocodile. Elle regarder Monsieur Kagao avec un regard intense. Elle voulait savoir jusque où va sa cruauté. Elle était tellement curieuse. Alina trembler, comme elle savait si bien le faire. Elle était une parfaite comédienne. Elle voulut reprendre la parole, mais cette fois-ci avec un timbre de vois plus douce. Une vrai enfant.

Monsieur , vous n'allez pas me faire du mal n'est-ce pas ?

Elle plonger son regarder dans celui de Monsieur Kagao. Après tout les moyens son bon pour sorti d'ici. Quoique après ce qui lui a dit. Mais non il oserait pas lui briser ses jambes. Comment pourrait-on faire du mal à une enfant comme elle.

Après l'avoir prévenue, je me retournais vers elle, elle me faisait les yeux doux. Vous savez ce genre de regard qui vous implore, en plus elle avait ajouté une petite larme. Je ne pu m'empêcher d'avoir un rire fort sadique, je mettais ma sur ma tête qui était penchée en arrière par le fait que je riais. Elle ne disait pourtant rien, j'en concluais donc que c'étais une petite comédienne que l'on voyait sur la scène et qui aimait se jouer de son public sauf que ça ne marchera pas avec moi. M'enfin ce n'est pas la première fois que j'ai à faire à un cas comme ça. Cependant … Elle était différente, une chose était sure, c'est qu'elle aimait jouer. Juste après mon rire frénétique, je m'avançais vers elle mettant une main pour lui tenir le menton. Je la regardais dans les yeux, pas pour la manipulé cette fois mais pour lui faire comprendre qui je suis.


Tu es maline mais moi je suis encore plus malin que toi! J'en conclu que ton silence marque le début de ta torture, on va bien s'amuser!!! NYAHAHAHAHAHAHAHAHA!!!


Ensuite je me dirigeais vers la table où les instruments étaient disposés, tous scintillaient et me paraissaient tous aussi magnifique les uns que les autres, alors que j'admirais mes instruments, j'entendis à nouveau la petite voix, je me retournais avec de grands yeux.


On ne me l'avait jamais faites cella! Hhahahaha On peut dire que toi tu es hors normes ou complétement inconsciente!! Tu ne me le répétera pas deux fois crois moi!


Me retournant vers mes ustensiles, je pris le fouet en main. Le contact entre ma main et le cuir du manche, je le serrais fort entendant un faible bruit provenant du cuir. Ahhh cela faisait bien longtemps que je n'avais pas éprouvé autant d'excitation, cela devait bien remonter à la vieille guerre! Tous mon corps était en ébullition et n'attendait qu'une chose, que je commence la séance de torture.

Je me tournais vers l'inconsciente et malicieuse esclave, appuyant sur le fouet qui se courbait avec élégance par sa flexibilité. J'affichais un énorme sourire, j'étais à un peu prêt un mètres cinquante de ma cible. Là voyant trembler, et laisser échapper de grande larme, un rire délirant me prit encore plus fort que le précédent, puis entendant la voix la jeune femme, l'excitation était à son comble, non pas l'excitation charnelle pour rapport mais l'excitation de pouvoir faire peur et mal à quelqu'un! Nous nous regardions fixement, yeux dans les yeux, j'affichais un sourire de plus en plus grand. En prenant un ton ironique je lui répondis.


Moi??? Te faire du mal? HO mais voyons! Je ne pourrai Jâââmais faire ça!


Juste à la fin de ces douces paroles pleines de sincérité, je fis claquer le fouet prêt du visage de la jeune femme, plus précisément vers son épaule pour déchirer le haut de celle-ci. Je commençais alors encore un long rire frénétique, je faisais claquer le fouet tel une symphonie somptueuse mouvementé de claquement, de rire et très certainement de cris qui sont les chœurs de cette unique mélodie parvenant doucement à mes oreilles. Je m'arrêtais un moment, regardais la jeune femme puis vit ses vêtements partirent en lambeau un par un, elle se retrouva en culotte, je crois que je suis encore trop gentil.


Je te rassure, ce n'était qu'un échauffement, je vois que je n'ai pas perdu la main. Biiiienn qu'allons-nous faire maintenant. Hohoohoo Une magnifique et subtile idée vient de me parcourir l'esprit


Je reviens vers la table où mes ustensiles gisaient toujours. Prit une aiguille assez fine de taille moyenne en fer. Elle était très aiguisé, avec ça autant vous dire que l'acuponcture n'est pas vraiment conseiller pour vous détendre . Je commençais encore une fois à marquer un sublime sourire de sadique, je m'avançais vers elle. Arrivant à son niveau, je m'accroupissais et lui la main.


Aujourd'hui tu vas avoir droit à quelque chose de très ancien, pas très impressionnant mais qui est efficace. Je vais te faire la huitième torture sous la dynastie Qing, j'ai lu sa dans un bouquin oriental, très intéressant dois-je dire. Bon cessons de parler place à la souffrance!!!


Je pris l'aiguille et l'enfonça doucement entre l'ongle et la chaire, je voyais un liquide rougeâtre se manifester rapidement, mon sourire grandissait à vu d'œil la jubilation allait pouvoir commencer.

Notre pauvre Alina était toujours allongée sur cette table froide dans cette pièce sans vie. Une pièce qui sens la mort. Comment pouvait-on resté ici, dans cette puanteur. Elle le regarder, il affiche un sourit dès plus sadique et je ne vous parle même pas du rire qui suit. On aurait dit, qu'il avait un gaz hilarant dans la pièce. On se le demande quand même, afin bref, tout ce passe pour le mal. Alina aller surement passer les pires moment de sa pauvre existence dans cette pièce. Monsieur Kagao est comment dire, en transe. Il n'est plus le même homme, on dirai le Docteur Jekyll et M. Hyde. Il a déjà pensée d'aller voir un psychologue, car il serai vraiment temps de faire soigner sa folie. Alina n'aimait pas qu'on lui promet quelque chose et qu'on le fait pas après. Elle commença à bouder. Il avait promis en quelque sorte de ne pas lui faire du mal. Je croix que la promesse et tombé à l'eau. Sa ce noie comme un rien, je dirai même que sa coule à pique. Alina leva les yeux, tout ce quelle voie c'est un plafond humide, pas très beau à regarder en effet. Le bourreau fit retentir le fouet, les chose aller donc commençait. Elle senti quelque claquement au niveau de ses épaules. Elle poussa un ou deux cris au passage du fouet,celui-ci caresser délicatement sa peau. Cela aller surement laisser des traces, sa belle peau toute douce et pur. En moins de temps pour le dire, elle c'est retrouvé en culotte. C'est dans c'est moment la quelle regrette de ne pas avoir une belle poitrine. C'est vrai, c'est pas une vie d'être plate comme une limace. Alina avait honte de son propre corps, des larmes se mire à couler sur ses joue. Le bourreau de ses dames afficher à nouveau un sourit sadique, on dirait qu'il ne connait pas les sourit chaleureux, ou les sourit de timidité. Et ce fut le retour du gaz hilarant. Alina commencer à avoir chaud dans cette pièce qui était étroite. *Faudra appeler les pompiers, je croix qu'un incendie ne va pas tarder à arriver *pauvre Alina, elle était en mauvaise posture dans cette position. C'est vraiment pas une position qui lui est favorable vraiment pas. Il n'y avait donc aucune pitiez pour une créature aussi magnifique qu'elle. Kagao se retourna et il avait des aiguilles. On pouvait voir des sueurs sur son visage si doux. Tout le monde à peur de quelque chose dans la vie. Alina n'aimer pas les aiguilles et encore moins les sentir sur elle.

Pitiez, je vous en supplie tout mais pas sa

C'était le cri du cœur la. De gros larme couler de ses yeux. On pouvait remarquer à cette instant quelle était une jeune fille fragile, quelle pouvait casser à tout moment. Mais à croire qu'il n'avait pas de cœur, car il appliqua sa torture. Alina pouvait sentir les aiguilles sous ses ongles, le sang chaud de son corps commençait à couler, doucement sur l'aiguille implanté. Elle continue de pleurait. Le regardent faire, le suppliant des yeux. Certes elle aimé jouée, mais pas jouée comme cela.

Arrêter une autre torture si vous voulez mais arrêter celle-ci.

Alina se cambre de douleur au plus les aiguilles transpercé ses ongles. Son souffle s’accéléra et devenait plus saccader. On pouvait remarquer son souffle chaud sorti de sa bouche. Elle se cambré encore plus, fessant des mouvements. Des cris aigus se fit entendre, mais au bout d'un moment ce n'était pas des cris de douleur peut à peut la douleur fessait place au plaisir. Le regard d'Alina se troubler, elle avait de plus en plus chaud. Elle suffoquer car l'air devenait rare. Son corps ne réagis plus. Son esprit était brouiller. Alina ne savait plus ou elle était et ce qu'on lui fessait. Son corps était tremblant, ses mains devenait moite de plus les aiguilles était pleine de sang. Elle n'était pas sur le point de ce vider non plus faut pas exagérait c'est une petit torture qui fessait son effet. Alina voulait de l'eau. Elle avait soif. Elle n'en pouvait plus de cette chaleur. Alina avait l'impression de se consumer de l'intérieur. Est-ce normal d'apprécier autant la souffrance. Alina devenait folle à son tout. La folie et une vrai épidémie. De plus cela ne doit pas se soigner aussi facilement.

De l'eau, je brûle.

Drôle de mot. Alina venait de franchir les portes de l'enfer. La chaleur que son corps procuré était insoutenable. De plus plaisir ressentir avec les aiguilles, elle en vient à ne pas regretter son sort finalement.

Entendant la jeune insouciante me supplier pour ne pas avoir un châtiment avec des aiguilles, je continuais agréablement ma tâche, je jubilais de plus en plus. Elle commençait à hurler et à pleurer, ce qui m’excita encore plus, ho oui, l'excitation de faire du mal à quelqu'un. Là est le vice du sadisme, tellement facile et tellement jouissif à la fois. Le sang fit enfin surface, la vue de ce liquide pourpre ne faisait qu'un tour dans ma tête. Désormais je ne pouvais plus m'arrêter ! L'équilibre et la constante ne signifiait plus rien pour moi, place au plaisir !!! Un plaisir cruel, injuste, non justifiable, tout ce que l'homme déteste dans le fond, tout ce que j'adore dans le fond... Les vices me rendent plus fort, les bonnes valeurs n'ont plus rien à faire dans notre monde ! VICES, VIOLENCE, SEXE, ARGENT, PLAISIR, voilà ce qui régissait mon être, et rien d'autre ! Prenant une voix des plus sadiques je lui dis avec un sourire frénétique :


HAHAHAHAHAHAA La Paaûûûûvre petite ! C'est ça de jouer avec le feu, à force on s'y brûle ! HHAHAHAHAHAHAA !!!!


L'ironie était une des pièces maîtresse dont j'aimais jouer avec mes victimes ! Elle me supplia enfin de changer de torture, ce qui me fit encore marqué un sourire frénétique, était-ce si douloureux ? A l'entendre elle connaissait d'autres tortures... Enfin ces dires me paressait incroyable venant d'une néko, elle était torturée, elle avait si mal qu'elle souhaitait une autre torture, or si elle n'aimait vraiment pas la torture, elle aurait simplement demander d'arrêter la séance de torture. Savait-elle qu'il serait complètement inutile de me demander d'arrêter la séance... M'enfin ce n'est qu'un petit détail. Je jouissais à la vue de ses cambrures, de son souffle coupé, de tout son corps perlé... Je continuais ma besogne, prenant cette fois ci, trois aiguilles en même temps, enfonçant rapidement et à plusieurs reprises dans la peau de la jeune néko. Le sang giclait suivant le mouvement des aiguilles, il y en avait plein sur mes mains, sur celle d'Alina, le sol et sur mon armure... Je levais une de mes mains ensanglantée, l'approcha de mon nez, le sentit, cette odeur était terriblement excitante, elle excitait mes instincts de tueur ! Je léchais ma main, la liquide pourpre alla sur ma langue et propagea son goût semblable au fer dans ma bouche. Le plaisir frénétique que venait de me procurer le goût du sang, ainsi que les cris répétés de la jeune victime, me consumait.

Quant tout à coup, ma frénésie dû au plaisir s'éclipsa à la voix d'Alina, une voix aiguë et suppliante, elle voulait de l'eau ? HAHAHAHAHAA !!! Mon rire éclata dans la pièce sans même que je m'en rende compte, non mais quelle sotte, croyait-elle franchement qu'elle était dans la position de demander ou exiger quoi que se soit ?! Enfin j'en avais fini avec les aiguilles, je les mettait dans un petite socle de ferraille dont on entendit le tintement du choc. Je m'éloignais un peu de ma victime, j'allais chercher un autre outil, il faut dire que plein d'idée fusaient dans ma tête. Je pris une lame aiguisée, touchant la pointe de mon index, je constatais avec grand plaisir qu'elle était très tranchante. Je pris un siège de bois, le mis à côté d'elle, je pris place, scrutant toujours la lame je lui dis :


Tu vas encore devoir avoir chaud avant que je ne te donne de l'eau, enfin se sera bien mieux que de l'eau, tu verra ça bientôt ! Bien comme nous avons fait l'échauffement, nous allons commencer l'entrée!


Je pris la lame, l'appliqua doucement sur la joue mouillé de larme de la jeune femme, faisant une petite entaille. Je dirigeais enfin la lame vers son bras gauche, je sculptais dans la peau la lettre « H », le sang coulait lentement, le « H » devenait rouge au fur et à mesure que le sang coulait. Puis je fis un point et la lettre « K » à côté du « H », c'était du grand art ! L'entrée venait à peine de commencer que j'en salivais déjà !