De la douceur dans ce monde de brut

Nom : Ayanami
Prénom : Alexys
Sexe : Femme
Age : 19 ans
Race : Humaine
Groupe : Esclave
Métier : aucun
Orientation sexuelle : Bisexuelle

Nom du pouvoir : Description (3-5 lignes avantages et inconvénients)
Nom du pouvoir : Description (3-5 lignes avantages et inconvénients)

Physique

Alexys mesure 1m73, pour son âge, elle est assez bien proportionnée, plutôt fine (dans les environ de 55 kg), elle a tout ce qu'il faut là où il faut, sans en avoir trop. Elle a les cheveux Roses, des cheveux longs et raide lui arrivant au milieu du dos qu'elle attache souvent en 2 petites couettes. Elle a les yeux rouges, virant souvent rosé quand elle regarde le soleil, petit regard très expressif, fuyant, parfois même contre son gré, ses yeux expriment ce que son visage refuse d'afficher. Elle ne se maquille pas beaucoup, enfin juste un peu pour mettre les mettre en valeur, mais cela reste sans plus. Petit visage fin avec encore ses petits traits d'enfant qui font souvent qu'elle passe pour un petit ange et surtout qu'on lui donne pas son âge. Des pommettes naturellement rosie, donnant sans cesse la sensation de timidité ou de gêne. De longs doigts fin, un gabarit plutôt chétif et fébrile, elle mise beaucoup sur son physique qu'elle met en avant par des tenues plutôt courte et moulante pour s'en sortir plutôt que miser sur sa force.

Mental

Un visage d'ange...Qui est loin de refléter la personnalité d'Alexys ! Cette jeune femme a eu un passé difficile, qui a marqué les traits de son visage autant que ceux de son caractère. Elle est assez dure, très terre-à-terre, pas rêveuse pour un sou. Elle sait à quoi s'attendre dans la vie et ne se fait pas d'illusions. Impassible, elle a appris à tout garder pour elle sans jamais rien extériorisé gardant son petit visage froid et fermé a tout.

De ce fait, Alexys n'est pas des plus sociable : Préférant la solitude, elle n'a jamais cherché à se faire des amis tant elle s'avère méfiante et n'accorde pas sa confiance facilement - pour ne pas dire très rarement. Elle ne recherche aucunement l'attention des autres, au contraire. Ne comprenant même pas ses propres sentiments, elle reste souvent à l'écart observatrice essayant de re-situer le comportement normal humain.

Néanmoins, il ne faut pas croire qu'elle est méchante ! Bien au contraire ; c'est une jeune femme au grand coeur...Mais marqué par son passé et ses ressentis. Jamais elle ne recherche les ennuis, jamais elle ne se moque de quiconque, jamais elle ne se montre méchant... Plutôt obéissante, tant que l'ordre est formulé de façon poli elle s'exécute sans trop rechigner, mais elle ne se montre pas sympathique pour autant si on la traite comme une moins que rien. Plutôt intelligente Alexys aime beaucoup lire, il s'agit-là de sa façon à elle de se changer les idées.


Malgré sa petite tendance calculatrice et manipulatrice, elle respecte les gens et, de ce fait, exige qu'on la respecte également. Non pas qu'il demande de traitement de faveur ! Non, simplement, qu'on lui fiche la paix. De nature pacifiste, elle se bat que très rarement, Alexys préfère laisser défiler les dires. Cependant, quand on la pousse à bout, elle devient d'une grande violence, pacifiste ne veut pas dire patient, parce que patient elle l'est, mais pas non plus énormément. Quand on joue trop on finit toujours par se faire mal
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Histoire

Depuis qu'elle était en âge de s'y intéresser, Alexys adorait la mythologie, elle se retrouvait dans le mythe de Scylla. Cette jeune nymphe, moitié humaine moitié démon, réputée pour être d'une grande beauté, celle qui déchaînait contre les marins s'ils se rapprochaient trop de l'endroit où elle était cachée, 6 monstres terrifiants, d'une puissance phénoménale.
Elle était ce genre de créature empoisonnée qu'il faut regarder de loin et avec soin sans jamais espérer pouvoir un jour la toucher.

Aussi loin qu'elle puisse s'en souvenir elle avait toujours vécu à Atlantica City, un de ses ancêtres pendant la guerre a eu le choix et il a préféré se soumettre à cette race dictatrice pour survivre. Emmener par la très célèbre barque de Charon où il devint rien d'autre qu'un esclave.
Ses parents nés sur place également, ont réussi à intégrer la résistance, ils étaient tous confiné les uns sur les autres, caché dans une sorte de cave insalubre a lutté pour survivre. Il y avait quand même quelques intellectuels qui leurs apprenaient les bases rudimentaires comme savoir se tenir, lire, écrire, servir pour parer à une éventuelle attaque. Marchandage, troc, échange de services par un autre, tout était de vigueur et pourtant, elle était là, toujours à rêvasser devant la porte qui menait à l'extérieur, Alexys se prêtait à rêver de la liberté. Malgré l'interdiction formelle de sortir, l'humaine ne pouvait passer outre ses envies, c'était un appel extérieure, une curiosité malsaine qu'elle devait en tout point assouvir. Elle était restée cachée toute sa jeunesse, il était temps pour elle de découvrir le monde à sa manière.

L'or d'une nuit sans lune à l'insu de ses parents, elle avait bravé l'interdit pour voir ce qui se passait en dehors des murs de sa prison. Un vent frais gonflant ses couettes alors qu'une étendue de lumière s'ouvrait à elle, petit tour discret en ville personne ne le saurait. Elle était restée horrifié de sa découverte, par de là les strass et les paillettes d'une ville à son apogée d'or et d'une vie de rêves, ceux qui ne rentraient pas dans le moule était traité comme des animaux. Mieux valait vivre caché plutôt que de subir ce que ces pauvres gens subissent, mauvaise pioche. Sans l'avoir soupçonné on l'avait suivi jusqu'au repère à peine était-elle entrée qu'un grand massacre venait de saccager leur refuge. Hurlement, pleure, feu, elle perdit ces parents et quasiment tous ses amis, alors qu'on l'arrachait à son seul refuge. Seul une poignée de réfugiés s'en était sorti, elle s'était débattue férocement jusqu'à ce qu'un coup à la tête lui fit perdre connaissance.

Elle s'était réveillée à cause d'une odeur étrange et des cliquetis perpétuels de l'eau sur de l'acier, un Ging ponctuant chacun de ses mouvements signe de la présence de chaînes. Sa vue encore brouillée ne lui permettait pas de voir distinctement où elle était, à l'aveuglette elle avait tendu les bras, ses doigts rencontrant le métal froid des barreaux de sa nouvelle prison. Chaînes au bras et même carrément autour de son cou pour l'empêcher de bouger, un petit couinement plaintif dû à l'éveil de son mal de tête, des larmes roulant silencieusement le long de ses joues.

Qu'est ce qu'elle avait fait ?
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