« Un grand soir » Comme le dit mon majordome Wart.Oui, comme vous pouvez le lire, il y a quelque chose de prévu pour ce soir : un diner au restaurant Ryoutei. Pour mon majordome, content pour moi que je dine dans un tel batiment. Je lui répète sans cesse : « Pas la peine de t'éxité, j'ai l'habitude » Mais lui fait semblant de ne pas entendre et prend toujours son air joyeux. Bref, il est 8h30, et comme d'habitude , je fait la grasse matiné, je me dit souvent « Hereusement que je suis le descendant des Amagera, car si j'était un simpel citoyen... je n'orais pas pu avoir cette belle vie! » En y penssant, je crois que tous les autres descendants sont des maître et maîtresse, dont certains utilisent des esclaves comme objet sexuel. Je ne peux rien dire de plus, ne connasisant pas les autres descendants, je ne peux savoir comment ils vivent... Moi apr exemple je n'ai aps d'esclave, toutes les personnes travaillant chez moi sont des citoyens lambda, ils ont seulement eus les critères que je voulais et c'est pour ça que je les ai engagé chez moi, Wart en fait partie. . Il y a ausi deux jeunes femmes plutôt sympathique qui vont avec mes critères, , elles passent leurs temps à m'appeler « Maître »...
« Monsieur Riot! Une lettre pour vous! »
Wart se précipitais vers moi, cette fameuse lettre en main. Il me la tendis et me dit d'une voix fatigué que celle-ci venais de la demoiselle qui m'avais invité à diner dans ce grand restaurant. « Messire Amagera, je suis hereuse de vous voir recevoir ce soir! » Wart me regardais interessé, je lui redonna le bout de papier et lui dit d'un ton hautin : « Brule là! (m'envoyer une lettre uste pour me dire ça...) »
Ma journée passa lentement, j'eu le temps de me promener dans mon jardin pendant quelques heures, Wart à mes cotés. Nous parlions d'Atlantica, cette vaste île apparu depuis des années, puis nous avions changé de sujet pour parler de mon bras droit, surnomée « L'Esprit de Boréas », il était intrigué que je ne puisse poduire de l'éléctricité avec ce bras... je le contenta d'un simple sourire et de quelques mots : « Tu verra un jour, mon chère. »
Puis approcha le soir, ce « grand soir ». Mon majordome me prépara uen tenue convenable pour cette soirée, un haut blanc comme le bas... il rajouta ses paroles : « A un être d'une grande beauté comme vous, messires, il se doit de porter la meilleur tenue qui soit » J'aimais bien. Mais en risque de pépin, je ne pourrais pas me battre librement, car le pantalon est trop sérré!
« Bienvenue, monsieur... » Tel était les premières paroles du serveur lorsque je suis entré dans le restaurant. Le batiment était remplis, je n'apperçu pas cette chère dame qui m'avait invité. Puis d'un coup j'entendis quelqu'un crier mon nom, c'était elle. Elle me fit signe de la main, s'approcha de moi, me pris la main pour m'emmener au fond du restaurant ou l'on y trouve quelques tables libre. Elle s'assid, puis s'adressa à moi :
« Bonsoir... Comment allez-vous? »
Puis la discussion s'enchaîna avec aissance. J'eus quelques occasion de regarder autour de moi, j'aperçus seulement un homme qui m'intriguais, non par son apparance... mais par quelqeus chose d'autre.