Identité du personnage:
.Nom: Trulyboby, ou un nom ridicule et simplet parfait pour couvrir l'identité réelle du personnage.
.Prénom: Liliol, le "i" après le second "l" n'est pas à oublier.
.Age: Arf! Je n'ai plus l'habitude d'utiliser le calendrier humain de l'ère pré-apocalyptique... je sais! Que diriez-vous d'une métaphore?... Et puis j'me lance : Je ne compte pas ma vie par ans, siècles et autres artifices humains temporels. Disons donc que chacuns de mes preux bras droits sont représentatifs de mon existance. S'ils tombent ou succombent à la mort, je me sens moi aussi sous le joug de la faux de la Mort. Pigé?... En gros les screugneugneux, je n'vis que parce qu'existe mon organisme résistant.
.Race: Sorceleur, bien que je rêve de me sentir dans la peau d'un simple humain gambattant les plaines sans buts dans la vie... je me dis que des fois, être parrain de la Résistance, ça gave!
.Groupe: Résitant. Oui, fatiguant ce boulot. Mais quand j'observe du haut de mon siège, la cité et ces "gens" fixés aux dogmes pourries et chiants des misters gouverneurs... Eh bien, je me sens bien placé pour changer cet affreux paysage, et j'en suis tout bonnement heureux.
.Orientation sexuelle: Hétérosexuelle... J'ai l'air de me douter?
Histoire du Personnage:
.Description physique:
Je vais aussi court qu'un souffle venteux : voyez-moi comme une épave de chair, fine mais d'une hauteur à toujours faire lever les yeux de mon locuteur. Teinture mâte, presque pâle cendre (Et effectivement, on me chuchotte souvent à l'oreille que, j'ai comme de la poussière en guise de peau. Elle est sèche mais éclatante au zénith de douze heures), une pilosité légèrement touffue sur diaphragme et autres parts larges du corps. En causant de ceci, venons-en à mon style capillaire. Montez tout de suite sur le building Yashiki central d'Atlanta, la plus élevée et luxueuse des architectures. En son sommet, je ne compte pas les mètres, z'yeutez en direction des plaines agricoles au loin des ruines de l'ancienne populace Atlantique. De votre hauteur, vous observez des sphères bicolores de cultures. Symétrie, circonférence et formes internes parfaites, hein? J'ai pris d'ici mon modèle. Bruns naturels évidemment, aucunement colorés; une chose que j'éxècre...
Costume? Ne cherchons pas loin messieurs. Un homme de classe moyenne sait parfaitement s'offrir une image élégante à faire s'hérisser les poils aux "aristocrottes" gouverneurs mal placés d'Atlanta... Non non, vous savez que j'incarne le calme. Je ne vais pas m'emporter pour une bande de... Ah? Info express? Je vous laisse : on me signale l'arrivée d'une nouvelle réforme esclavagiste. Où est cette plume griffée d'or que je puisse modifier la première page... Eh oui! Je changerais bien de style textile mais notez que la vie d'un journaliste bouffe le temps.
.Description psychologique: Voyez, ou plutôt imaginez-vous le documentaire TV suivant : un nouveau-né, qu'importe l'animal, est génétiquement programmé à suivre ceux (les parents) qui lui ont donné la vie. Ceux-là disparus, que devient le jeune petiot ayant tout juste posé la patte dans ce monde de chaos? La nourriture? Niet. La sécurité? Effacée elle aussi avec ses progéniteurs. Ce que j'essaie de traduire est simple. Mettez-moi à la place d'un de ces alphas chefs de meutes. J'ai eu naturellement le don d'ajuster le ton et mon esprit à la dominance. J'aime dominer pour protéger. Manipuler aussi donc, cela va de soit et avec. Quoique?... Publiquement, je m'affiche comme un de ces clowns, ces types qui prennent un masque de l'humour exagéré. Dit facilement : je suis psychologiquement comme une chrysalide. Je m'adapte à toutes les situations. Je suis un chef, je suis d'un haut statut social et moral, je suis la lettre A avant le B de l'alphabet. Evidemment parfait.
.Histoire: (15 lignes minimum)
Il y avait cet ancêtre boitant et barbichu, qui me faisait songer étant gosse. On le croyait porteur de laine de mouton par la longueur de ses poils de mentons. Je nomme, "Platon". Je n'ai jamais pû connaître mon père et ma mère. Renifler la peau de ma mère et me faire serrer par les bras d'acier de mon père, fut pour moi un rêve irréalisable.
J'ai ouvert les yeux sur le monde donc : j'étais né. On s'attendrait tous, inconsciemment, à se faire bercer dans un fauteuil à pirouettes, à se faire cajoler par père et mère. Non. Je n'ai pas eu le droit au lait de mère. En guise de dessèche-gorge, je suçais ma sueur et les vingts centilitres d'eau quotidiens que m'apporta mon maître. Mon berceau d'enfance, le voici : un sombrissime camp d'esclavage, sous les montagnes arides à la frontière du pays Atlantique. Je ne me souviens plus du nom, tant gueulé, de ce goulag non avare en esclaves. J'étais petiot, le plus jeune de la masse d'individus. Mon maître portait son masque de clown avec un nom/prénom pareil : Trulyboby Hiksday.
Disait-il, que ma hargne de vivre est touchante, et que je serais certainement grand dans les quelques centaines de mois à venir ('Faut avouer que je n'étais pas bien grand aussi...). Il parlait de mon avenir, me mettais en scène comme un gaillard pouvant dicter la société avec des discours aussi aiguisés et délicats, comme le fer à feu de maître Trulyboby.
Il me prit sous son aile, un vendredi particulièrement sec et étouffant de chaleur. M'enfin... Un "33 degrés Celsius", ce n'est que de la pichenette pour un corps aussi solide, par le vécu tortionnaire, que le mien. Le vieux Hiksday n'était pas un coq, un gentleman avec des manières polies et gracieuses. On le disait misanthrope, si bien qu'il le devint réellement. En réalité, le barbichu maître d'esclavagisme était plutôt une pie. Une pipelette légendaire, si bien que le voir nicher au fin fond de la cité, aux frontières montagneuses où se plaçait le camp où je suis né, faisait rassurer la populace. Il parlait trop. Et puis, Trulyboby mit un temps fou à m'annoncer son ancien génie : il fut grand Démocrate-Monarchiste qui plaidait au trône pour... une misérable et moqueuse durée de seulement Trois Mois! Alors? Vraiment peu nombreuses furent les personnes au courant de cette éjection-là du trône. Certains parlaient de corruption fâcheusement découverte par tel ou tel sbire; d'autres signalaient sa propre démission, car le peuple voyait en lui, un manque d'intérêt, voire presque un ennui, à gouverner. Odieux qu'est ce comportement pour un Démocrate-Monarchiste! Moi, ce pauvre gosse baveux et sueux, rampeur devant l'éternel, dans la boue d'un camp d'esclavage, je connaissait la raison de son départ. Père (Après trois ans de vie commune, ma langue a pris l'habitude le nommer comme ceci.) Trulyboby louait les écrits et discours d'un certain Platon. Grand ennemi des fondateurs de la cité Atlantique, ce Platon n'était qu'un anonyme parmi les anonymes ancêtres de nos familles. Les plus élevés et intellects connaissaient très bien cet Homme, la population, non, ou alors aussi peu que le nombre de brins d'herbe dans un désert aride.
"La République". Un mythe ridicule et impossible, selon les gens du peuple. En ces temps, comme aujourd'hui, nous vivions sous un Monarchie-Démocrate, un système politique et social dont le pouvoir est cinquante-cinquante partagé entre les "citoyens" et les gouverneurs héréditaires (Les Saintes Douze Familles). "Citoyens" entre guillemets, car père Trulyboby n'aimait pas utiliser ce terme sous la société actuelle. Pour lui, nous avions là presque un Diktat, mais plus subtil.
.Pouvoir: " Refus de la Circonstance"
.Description du pouvoir: Mettons d'abord des barrières à mon pouvoir. Il se limite en deux cas. Il faut savoir que cette puissance est originaire de moi, charnellement. Je veux dire, que mon Refus s'applique seulement au contact de mon corps avec tel objet ou telle personne, ou bien, il est possible que je "transmette" le pouvoir à un objet que j'aime, que j’accepte comme m'étant utile ou important sentimentalement pour moi. Par exemple, à mon sabre-lumière. Je peux tout aussi bien le confier à des gens que je conçois bons. Je perds cependant le pouvoir dès qu'il se lie avec sa nouvelle enveloppe. Mais je peux le rappeler après Cinq Minutes hors de moi, ce même s'il est en résonance avec un objet ou type quelconque.
Voyons maintenant le pouvoir en lui-même. je vous l'ai dis? Je hais le chocolat, ah mais je n'en parle même pas du noir à plus de 70% de cacao... Je déteste ce truc. Parfait : " Je rejette. " Cette simple phrase prononcée, la tablette chocolatière, disons que je tenais entre mes mains, disparaît! Purement et simplement. Aucune moindre trace de sa présence ne transparaît plus dans notre monde. Non, pas même dans une autre dimension ou autre endroit que Dieu seul connaît. Je refuse telle chose, tel évènement, en mon contact... " paf! " Disparu net, plus efficace qu'un Vanish Oxy-action qui tâche mieux qu'il nettoie d'ailleurs. Ah! On me demande à l'oreille si mon pouvoir s'applique à un être vivant, qu'importe ce qu'il soit. La réponse est " non "! je ne porte pas le doux nom de " Dieu " pour dérégler les lois de la vie, hein! Laissons ses créatures de côtés, et concentrons-nous sur le réel matériel, temporel et spatial. Maintenant, j'ai la vibrante envie de soigner notre patrie en " refusant " l'indigne constitution de notre pays. La serpillière sera bientôt à leur porte, patience amis rebelles...
Plus:
.Code de validation des règles: [EDIT] Validé par Haku
.Surnom: " Le Platon Anarchiste " ou " Le Faisceau Moral "
.Temps présent sur le forum ? (/10): Un p'tit 8/10. De moins en moins de temps à poster pour plus de boulot scolaire et autres.
.Comment avez-vous connu le forum ?: Bah tiens. J'ai quasiment suivi mister Wiver dans tous ses forums, alors me voici aussi collé à celui-là.
.Que pensez vous du forum???: je pense que tout a été dis dans les autres préz', non? Du genre : joli esthétiquement, bien construit sur la trame, un bien bon niveau rp...M'enfin, c'est du Wiver Blades & Cie., alors bon, je m'attends toujours à du costaud. Me voilà servi.