Premier Jour d'Eri au Manoir !

Après un épisode de délivrance de l'envie sexuelle qui emplissait Eri depuis plusieurs jours (et dont Ludwig avait bien profité), l'humaine suivit ce démon à l'air quand même un peu effrayant. C'était surement une façon de bien signifier sa supériorité, puisqu'Eri n'avait pas réellement décelé de méchanceté chez le démon. Quelle que soit la raison, Eri allait obéir de toutes façons. Elle était trop bien dressée pour réellement résister.

Le manoir de Ludwig était assez différent de son habitude, mais son aménagement et sa décoration étaient plaisantes. En fait, l'habitation convenait très bien à ce que Ludwig dégageaient. La construction avait l'air ancienne, voire lugubre, dans un certain sens. Mais la décoration intérieure se situait entre l'environnement geek, l'environnement "maison close" et ... d'autres types spécifiques voire indéfinissables. Tout ça aurait mérité d'être traité dans un magazine sur la construction et la décoration. Eri suivait docilement son dors et déjà Maître Ludwig. Elle écoutait et marquait son intérêt, même si sur sa figure, on voyait clairement que la décoration l'impressionnait. Ludwig avait un air autoritaire et assez distant. Peut-être était-ce parce qu'il ne faisait pas encore confiance à Eri. Dans ce cas, il allait certainement changer d'avis rapidement car d'Eri ne pouvait transpirer aucune mauvaise onde à part la peur, l'angoisse ou la tristesse.

Contrairement au couloirs, dont Eri devait prendre l'habitude, la plupart des pièces étaient lumineuses, ce qui arracha un petit sourire heureux au visage de l'humaine. Il y avait des grands écrans partout et Eri se disait qu'au cas où elle serait autorisée à regarder la télé, les sensations qu'elle allait ressentir seraient bien plus élevées en intensité. Elle portait toujours son bagage et sa peluche. Les appartements de Ludwig étaient gigantesques! Jamais elle n'avait vu ça... Un lit où on pouvait mettre de 4 à 5 ou 6 personnes, selon comment on s'arrangeaient. Un jacuzzi !! Un grand écran aussi, un minibar également. Eri eut envie de passé toutes ses nuits avec son maître, du coup (et aussi parce que les couloirs lui semblaient encore trop impressionnants). D'ailleurs, elle avait entendu un bruit bizarre pendant la visite. (Oo) Ludwig lui fit visiter ensuite une enfilade de pièces du côté de la chambre. Un entreposage de choses diverses qui étaient énormément susceptibles d'intéressé le désir de l'humaine, d'abord. Ensuite, une bibliothèque très grande, si son maître l'autorisait à lire ces livres, elle n'était pas prête de s'ennuyer! Ensuite, d'autres salles dont une chambre d'amis.

La dernière salle, elle, fit penser à Eri que finalement, les autres pièces et couloirs étaient des paradis! Son maître lui fit découvrir une pièce où elle se sentit très mal à l'aise. Elle pria pour ne pas devoir la nettoyer ou y aller de nouveau. Elle n'avait aucun talent pour ressentir ce genre de chose mais ce qu'elle ressentit, pourtant, lui fit serrer sa peluche d'angoisse. Heureusement, Ludwig en était conscient et la ramena avec une attitude plus proche. Il lui expliqua ce qui était son travail, ce qu'il attendait d'elle.

Citation :

"Bon pour commencer tu va devoir t'habituer à me parler constamment car je n'aime pas franchement la solitude, enfin j'y suis plutôt devenu allergique disons ! Tu devra donc faire le ménage régulièrement et entretenir ma vie quotidienne ! Obéir à mes ordres sera désormais ta seule raison de vivre et si tu me satisfait dans ta tâche il y aura des jours ou je serait bienveillant pour te récompenser. Tâche d'être la meilleure femme de ménage et cuisinière possible et tu n'aura pas à faire à un ingrat ! Tu peut te balader la ou bon te semble dans la maison mise à part dans la pièce secrète! et il est bien évident que je ne veut pas entendre parler de ton passé ou bien de ton futur ! Car c'est moi et moi seul qui ferait ton avenir ! Pour ce qui est de ta tenue, le moins habillé possible sera de convenance ! Je veut pouvoir te désirer et montrer à ton corps l'expression de mes sentiments distingués ! Maintenant que tu n'est plus sous l'emprise de ce Kagao Hakunetsu, tu va pouvoir te relaxer un peu et j'espère bien que ton amour pour moi va vite se forger !"

Elle écouta et fut soulagée de plusieurs choses: elle pouvait et même, devait, parler à son maître régulièrement... Tant mieux! Ensuite, elle était interdite de pièce secrète! Elle eut soudain un air de soulagement intense... Cette pièce ne lui plaisait vraiment pas du tout, elle ne risquait d'y entrer. Pour le reste, plus elle était dévouée, plus sa vie serait agréable, c'était plaisant aussi, un maître reconnaissant. Une chose était clair également, ce serait un maître possessif, semble-t-il. En tout cas, Ludwig voulait régenter la vie d'Eri, ce qui ne la gênait qu'à moitié. La tenue devait être sexy, en clair. Soit, elle n'avait que ça de toutes façons... Cependant, le moins habillé? Une question à poser.

"Maître, je n'ai pas du tout envie d'aller dans cette pièce secrète, ensuite.... J'aurais quelques questions. Heuu... Quand vous dîtes "le moins habillé", ça veut dire strictement le moins habillé, même dehors? Les tenues telles qu'infirmière, maid, neko ou autres ne vous intéressent pas? Je suis également soulagée de devoir vous parler car je n'aime pas le silence non plus. Ensuite... J'ai une question plus délicate.... Enfin, plutôt deux. Je me demande à quoi je peux toucher ici, ce que je peux lire, utiliser, etc... Et aussi où je dors, car j'ai encore mes petits bagages, comme vous pouvez le constatez. La meilleure récompense que vous pourrez me donner est le plaisir sensuel, sexuel, charnel. Donc, je me tiendrais de toutes manières à vos charnelles dispositions. Ah... Je n'en ai jamais eu et je pense ne pas en avoir besoin.... mais je me disais tout de même. Que dois-je faire si je rencontre une garçon ou une fille qui me plait vraiment... vous savez ce que je veux dire n'est-ce pas? C'est une simple question."

Ludwig impressionnait l'humaine, c'était un démon-type, bien qu'agréable -semble-t-il-, ses rictus ne laissaient aucun doutes! Eri ne risquait pas grand chose certes, il lui suffirait de bien se comporter et d'obéir à son maître, mais cette nature démoniaque ainsi que cette pièce bizarre étaient là pour rappeler à Eri que l'obéissance était ici une règle stricte.

Eri écouta avec intérêt la réponse de Ludwig, elle rougit lorsqu'il parla de son membre. Il était direct! Mais au moins, elle ne pouvait pas avoir peur d'être laissée sur le côté, sa fleur fanant. Ludwig avait même l'air décidé à arroser le jardin. Pour le reste, il fallait demander la permission avant de prendre quelque chose... Sauf dans les matériaux utiles à ses tâches de tous les jours, supposait-elle avec raison. Et en ce qui concerne les tenues, le maître avait réfléchi et assoupli sa position. Eri notait le mieux possible les différentes dispositions dans sa tête. Ses limites pour la télévision confirmaient le fait qu'Eri devait au moins au début faire son possible pour être bien vue et estimée. L'endroit où elle dormirait serait le lit de son maître. Vu le lit qu'elle avait vu, elle n'allait pas s'en plaindre! Ludwig envisageait cependant faire de la chambre d'amis la chambre d'Eri, si elle le servait bien. L'humaine se demandait ce qu'elle préférait: le lit du maître où son corps serait honoré ou un lit pour elle. Chaque choix avait ses qualités et ses défauts. Ces limites strictes dont elle n'avait pas l'habitude lui faisaient quelque peu peur. Elle n'avait pas le choix en effet, mais elle espérait déjà que les règles s'assouplissent un minimum.

"D'accord, j'ai compris Maître."

Ludwig ne parla plus pendant un moment, soudainement. L'esclave le regardait comme si elle essayait de deviner ce que son maître avait en tête. Jusqu'à l'exposition de l'idée. Un jacuzzi avec le maître! Il n'était pas difficile de deviner comment ça pouvait évoluer. En fait, les propos de Ludwig ne laissaient aucun doute... Et la fin de sa demande était cent pour cent vindicative! Nue, comme ça, là, maintenant, dans le couloir? Surement un test d'obéissance. Il devenait carrément malsain d'ailleurs, avec son histoire de "mon regard qui souille ton corps". Eri se demandait tout de même où elle était tombée... =/ Pourvu qu'il ne soit pas trop hard au niveau de l'envie charnelle et des méthodes sexuelles. Eri préférait être une esclave plutôt qu'une poupée gonflable!

Elle se mit donc au déshabillage. Elle fit d'abord glisser sa robe blanche vers le haut, pour la laisser tomber par terre... Puis ce fut le tour du soutien gorge, qu'elle dégrafa et enleva sensuellement. La petite culotte enlevée avec sensualité également, Eri avait prit un réel plaisir, finalement, à se déshabiller devant Ludwig. Elle était plus à l'aise en privé et se rappelant l'épisode du marché d'esclave, elle rougit. Ludwig voyant la nudité d'Eri, son visage eut à nouveau un rictus, plus plaisant que les autres certes, mais quand même bizarre. Il lui ordonna de monter les escaliers sur l'instant et d'aller dans la chambre. Eri regarda ses affaires par terre, allaient-elles rester là? Elle regarda alors Ludwig avec un regard contrit, inquiète pour ces quelques affaires qu'elle avait sauvé in extremis. Mais elle finit par monter dans la chambre, il le fallait. Elle se posta dans la chambre, attendant Ludwig en se posant des questions.

Il apparut rapidement dans la chambre sans/avec [HRP: à toi de choisir et de préciser dans le rp] les affaires d'Eri. Il alla préparer le jacuzzi, Eri restant à sa place.
Il se déshabilla ensuite, découvrant son corps. Elle regardait le maître se déshabiller et le détailla nu comme un ver. Il avait tout sauf un simple ver! Eri ne put s'empêcher de rougir devant la pièce centrale de la virilité de Ludwig. Elle l'avait déjà vu une fois mais n'était pas encore habituée. Elle remarqua également un tatouage dans son dos. Il était musclé sans être une montagne brute de muscles. Il se trempa ensuite dans l'eau, y invitant Eri. Elle se rapprocha et entra dans l'eau, se mettant en face de Ludwig. Elle avait dés l'entrée dans l'eau du jacuzzi une mine de détente. Elle se demandait dans le marché d'esclave si elle retrouverait ce luxe.

Elle se laissa regarder par Ludwig puis risqua de se rapprocher de son même par le côté, pour s'asseoir un peu à côté de lui, regardant dans l'eau.

"Maître, dois-je faire quelque chose en particulier?"

Eri, à côté de son maître, sursauta un peu lorsque celui-ci se mit à rire. Elle rigola un peu par communication, mais avec une once d'incompréhension... Son regard surpris et étonné fut fixé par celui de Ludwig, ce qui la fit rosir un peu. Un regard de démon ténébreux et mystérieux, ça faisait de l'effet à une simple humaine humble et éduquée pour servir.

Citation :

"Oï, Oî ! Je ri-go-le ! Pas la peine de te sentir aussi gênée ! Je ne faisait que te tester jusqu'à maintenant ! Mais tu ne m'as pas l'air du genre à vouloir t'enfuir ! Et puis je ne suis pas si méchant que cela en fin de compte ! Détend toi ma petite Eri et viens donc me frotter le dos tiens ! J'aimerai bien savoir ce que cela peut faire d'être laver par une femme aussi mignonne que toi, Eri-pon !"

Il n'était pas si méchant que ça? C'est vrai que quand il riait aussi fort, il semblait beaucoup plus approchable. Mais Eri ne se répandit pas trop. Elle put donc se détendre à fond, enfouissant pour l'instant cette envie sexuelle qui la tenaillait. Beaucoup plus souriante et détendue, elle se mit donc à la tâche de laver son maître. Elle prit une grosse éponge naturelle et la trempa dans l'eau. Se laver dans un jaccuzi, quel luxe! Ludwig lui dit qu'elle était mignonne, l'humaine en rougit. Tout ces compliments ne l'aidait pas à calmer ses envies révélées au grand jour. Elle passa l'éponge sur le dos de son maître, remarquant avec une grande curiosité ce tatouage dans son dos. Il était bien fait. Ça rajoutait un charme de "bad boy" à Ludwig. Elle lava son dos et laissa l'éponge tomber dans l'eau ensuite, comme il était bien mis, Eri eut l'idée de lui caresser le dos, ce qui lui permettait du même coup de regarder plus attentivement le tatouage. Elle se rapprochait doucement et ses seins finirent par toucher le dos de Ludwig. Elle continua jusqu'à ce que son maître lui dise de la laver entièrement... Là elle rougit encore plus! Il n'aidait pas du tout! Mais serait-ce son but? La titiller encore et encore?

Si c'était cela son but, elle allait devenir succube pendant la nuit... Elle se dit alors que peut-être, il était possible de lui donner envie en douceur. En plus, ses attouchements seraient agréable pour elle et ça la calmerait un peu. Elle se mit alors à chercher dans sa tête une chanson. Pour meubler le temps de chercher, elle parla à son maître, comme il l'avait souhaité au début. Pendant ce temps, elle lavait avec application l'entièreté de son maître, voulant finir par son membre, les seins devenus un peu durs par ses fantasmes enfouis frottant contre son dos.

"Hum... je cherche maître... J'aime quand vous m'appelez Eri-pon... Ça fait penser à friponne." Rit un peu.

"Ah je sais."

"Hitorikiri nakisou ni naru
Yoru nante ikutsu mo aru
Owari no nai tobi no tochuu
Dare datte yume mite iru

Itsumo nani ka o shinjite
Soshite nani ka ushinatte
Kimi o dakishimeta
Nagashita namida no kazu wa
Yasashisa ni kawatte yuku, kitto

Kanashimi ni makenaide
Massugu ni ashita o mitai ne
Hitori ja nai, dare mo minna
Kanaeru negai ga aru..."

[Grenadier - Kanashimi ni Makenaide]

Elle s'attaquait au membre de Ludwig, l'étape dernière, avec une application carrément suspecte. Elle ne pouvait pas s'en empêcher et sa jolie voix devenait un peu hésitante malgré sa concentration.

"Je... Je suis désolée, mais dans le marché...." Elle avait une mine contrite, s'en voulant de ne pouvoir contrôler son manque.

"Je ne suis qu'une obsédée..." Elle baisse la tête, ses mains douces sur les cuisses de Ludwig.

Eri rougit aux applaudissements, elle est heureuse que cela lui plaise mais a toujours été intimidée par ce genre de choses... Même si ça la flattait et la rendait guillerette. Enfin, d'habitude car dans cette situation, elle n'était pas guillerette mais toujours excitée. Ce qu'elle avoua avec honte, comme si cela était contraire aux préceptes de Ludwig et qu'elle le décevait. Pourtant, elle récupéra le sourire en entendant son maître l'inviter à pousser plus loin ce qui avait été commencer à l'Agora Dorei. Elle fut soulagée et retrouva confiance en elle. En plus, le comportement très positif de Ludwig, accompagné du séjour agréable dans le jaccuzi, avait effacé ses peurs et ses appréhensions.

Ludwig ne laissa même pas le choix de la situation pour pratiquer ce pacte interrompu au marché d'esclave, mais cette autorité dominante modérée excita encore plus Eri qui enregistra avant de ne plus entendre Ludwig (dans l'eau elle n'entendait rien logiquement) lui dire qu'il "suffisait" d'avaler sa semence. A vrai dire, Eri avait déjà cette idée en tête à l'Agora Dorei. Elle se laissa faire par Ludwig et dés que, dans l'eau pleine de bulle, ses lèvres closes touchèrent le bout gros et dur de son maître, elle l'avala en ouvrant sa bouche à fur et mesure. Ayant pris une bouffée d'oxygène à la surface, elle alla volontairement jusqu'au plus loin possible, sentant le gros radis Gumo de son maître au fond de sa gorge. Sa langue commença à travailler, ses deux mains appuyées sur les cuisses de Ludwig. Elle libéra son envie retenue qui la faisant bouillonner intérieurement. Le goût particulier des sexes masculins enivrait son esprit pervers. La plupart des femmes ou assimilées n'aimait pas plus que cela le goût de ce qui pouvait sortir d'un phallus en érection, mais notre jeune humaine blonde était forgée dans les vices charnels, certains diraient qu'elle fut conditionnée, d'autres qu'elle fut bien élevée... Chacun son avis sur la question. Toujours est-il qu'elle prenait un plaisir succubique dans les mouvements de bas en haut, de haut en bas, de travers, des mouvements complexes et doux de sa langue, de la dégustation de sa sucette au goût de mâle.

Elle dut remonter à la surface pour respirer, montrant à Ludwig un visage coloré par le plaisir et envieux de son être démoniaque. A ce moment, elle était libérée de toute retenue, de toute gêne. Dans l'intimité du bain, elle souhaitait de tout son être que son maître lui fasse ressentir un tas de sensations différentes.

"Maître... Vous pouvez... me prendre... quand vous voulez." Elle est prête à y retourner.

Eri avait sentit tout au long de son soin aquatique le plaisir immense de son maître gonflé son gros thermomètre, un thermomètre très chaleureux et accueillant. Mettant sa clef dans la bouche d'Eri de cette façon, Ludwig avait réveillé toute cette envie charnelle et impudique qui avait mit mal à l'aise l'humaine, dans sa cage. Le volcan qu'elle était devenue ne pouvait plus s'arrêter de lui-même, le désir sexuel l'étouffant presque. Dans sa bulle pleine de vices, Eri se permit de dire, toute excitée, à son maître qu'il pouvait quand il voulait la pénétrer sans autres formes de procès. Elle pensait que ça l'exciterait et eut un peu peur quand il la sermonna. Mais cette pointe de peur cachée par l'envie se lisant sur son visage disparut, lorsqu'elle comprit le ton ironique de son maître. Cette fausse engueulade accompagnée du fait qu'il lui disait qu'elle était une obsédée l'excitait encore plus. Elle sentait son corps brûlant demander encore et encore, comme pour rattraper le temps perdu. Inutile de dire qu'elle était déjà bien trempée... Comme put le constater Ludwig qui se mit à contempler toute cette zone si sensible de son faible corps d'humaine.

Ludwig prenait son temps et faisait gémir Eri à coups de langue... Elle gémissait doucement, en prenant des respirations profondes et calmes. Son excitation était toujours là mais plus posée, plus approfondie. Ces coups de langue ne suffirent pas à faire faillir Eri car son envie était bien moins superficielle, même si c'était extrêmement agréable. Ludwig le devina et passa alors à la phase suivante, introduit sa langue d'un coup et la bougeant frénétiquement en l'humaine, qui ne put retenir cette fois-ci ses gémissements clairs et sexy. Comme ils étaient dans une position appropriées, Eri pouvait continuer son œuvre sur le gros radis de son maître, appliquant ses mains douces et fines sur cet organe masculin, en gémissant. Le maître décida de bien faire languir Eri en montant l'intensité des mouvements de sa langue, ce qui fit gémir de plus en plus forts l'humaine surexcitée. Elle dandinait son derrière automatiquement pour accompagner la langue de son maître Ludwig, cherchant plus de sensations.

Ludwig constata l'état de désir extrême de son esclave qui, elle, craignait qu'il ne la laisse par jeu languir encore plus. Ce ne fut pas le cas! Après des propos auxquels Eri ne put que répondre des supplications mêlées de gémissements, l'humaine se retrouva dans la position adéquate à l'introduction immédiate, autoritaire et entière de ce membre démoniaque en son antre du bien-être humide. Elle sentit le gros thermomètre de Ludwig s'enfoncer en elle, criant de plaisir à cette longuement espérée introduction dans le vif et rose du sujet. Humide à souhait, Eri recevait l'organe d'accouplement sans aucune difficulté, crispant ses mains sur le bord du jaccuzi. Son expression du visage reflétait la luxure de la chair très clairement, la pauvre humaine ayant maintenant l'esprit ailleurs, envahit d'un tas d'hormones de bien-être qui la shootait pratiquement. Le corps frémissant, les mamelons durcis, la cerise bien irriguée, le teint rosit et les fessiers bougeant ostensiblement, Eri était maintenant dans un autre monde. Elle répondit, la voix perturbée par sa pseudo-transe:

"Non, je ... suis déso... lée Maître............ Je vous.... en supp...lie.... C'est.... si bon."

Eri l'esclave pervertie ne semblait pas pouvoir sortir de son semi-comateux mais toujours volontaire tant que son Maître Ludwig ne l'avait pas fait jouir. L'humaine était trop en manque pour réfléchir correctement et la façon sauvage qu'avait le démon de la besogner avidement ne faisait que stimuler son désir aiguisé par l'attente. Ludwig allait-il lui procurer ce plaisir tous les jours? Peut-être pas, même un démon se doit de se reposer de temps à autres. Mais il semblait aimer, au vu du ressenti que l'humaine avait au travers de son compresseur à bambou. Eri souhaitait déjà la prochaine occasion, qui pouvait réservé bien des surprises étant donné le contenu qu'avait aperçu notre humaine en cette pièce jouxtant la chambre.

Eri entendit soudain des bruits qui lui semblaient très familier (XD) venant de la télévision à écran géant. Elle tourna son visage plein de luxure charnelle vers l'écran et vit un film pornographique avec un homme est plusieurs femmes dans un état qui devait être proche de celui d'Eri elle-même. Ludwig avait le don de faire tomber l'humaine de plus en plus profondément dans sa perversité! Elle était maintenant stimulée intérieurement et télévisuellement, et bien vite par les propos de son maître qui prenait plaisir à la stimuler dans tous les sens à la fois. Elle ne put d'ailleurs pas répondre puisqu'elle était trop occupée à gémir ainsi qu'à crier lorsque des décharges d'émotions prenaient son corps.

Eri sentit alors les mains de son maître l'installer dans une autre position, qu'elle ne rejeta pas bien sûr! Au bout d'une rotation puis d'un corps à corps où, dans son état second, l'humaine sentit l'odeur corporelle de son maître à pleins poumons, le tour de manège recommençait. Et quelle position! Eri aimait ce types de positions car son poids lui faisait sentir le plus profondément possible le membre de son partenaire et elle pouvait également exécuter des gestes du bassin à la recherche de l'orgasme. Cela valait pour Ludwig aussi d'ailleurs. Donc, les bras entourant le cou de son maître, les jambes serrées avec désir autour de la taille de ce même maître, l'humaine commença des mouvements plus doux mais plus travaillés à l'aide de son bassin. Gémissante, elle sentit en plus Ludwig lui faire le plaisir tendre et coquin des lèches dans le cou. Très sensible et tactile, Eri appréciait énormément ce genre de choses. Son corps, collé à celui de Ludwig, frottait doucement, peau contre peau, chaleur contre chaleur, elle aurait voulu que ce moment dure l'éternité. Qui plus est, l'orgie télévisuelle continuait! Et le fait qu'Eri ne pouvait plus que l'entendre faisant travailler automatiquement son imagination. Tout cela la rendait plus douce dans ses mouvements, plus frémissante, plus gémissante, plus soupirante... à vrai dire, beaucoup plus attirante et sexy puisqu'elle transpirait maintenant de sentiments plus tendres mais toujours emprunts de grande luxure. Son bassin se mouvait circulairement, de haut en bas, de bas en haut, stimulant seulement seulement le gland de Ludwig puis tout son membre entier, Eri l'enfouissant au plus profond de son intimité. Ludwig se mit à bouger également, ce qui haussa les décibels des gémissements d'Eri, qui devinrent des cris finalement. Lui disant toujours des paroles perverses, le démon excitait toujours plus l'humaine. Mais les dernières paroles démoniaques rendirent Eri gênée, elle ne pouvait plus s'arrêter de bouger avec une envie clairement exprimée mais elle rougit pourtant de gêne, devenue un peu plus consciente.

"C'est ... pas vr...ah! ... Vrai... je suis... mmmm! pas excitée."

Ceci dit sur un ton disant le contraire, comme ses actions d'ailleurs. Elle semblait beaucoup plus faible et fragile qu'auparavant, serrant ses bras quand l'excitation était trop forte et les desserant un peu quand le plaisir continu l'envahissait.

Faisant maintenant de Ludwig un démon au plaisir exubérant, notre esclave sentait petit à petit des vagues de sensations puissantes l'envahir. Ses mouvements accompagnaient toujours ceux de son maître qu'elle stimulait à présent en mode automatique. L'humaine criant son plaisir grandissant ressentait chaque contacts entre leurs deux peaux avec des frissons lui remontant l'échine jusqu'au cerveau. Plus l'action se déroulait, plus Ludwig était puissant, son membre de plus en plus volontaire dans son travail spécialisé. Eri aurait pu s'apercevoir de la jouissance proche de Ludwig, mais elle-même étant sur cette pente, cela lui était impossible. Son corps n'avait plus de volonté réfléchie mais était animé d'une volonté propre à l'acte, commandant comme par réflexe les mouvements d'Eri, en accord parfait avec sa recherche de l'orgasme si longtemps frustré.

Elle n'eut bien sûr aucun loisir de voir le curieux animal démoniaque de la maison entrer. Le canard à l'allure si particulière, qu'Eri n'avait pas encore vu clairement, se posta derrière le lit. Ludwig fut le seul à le remarquer et il profita de l'occasion pour exciter de nouveau Eri. Elle ne comprit pas tout de suite le message envoyé à son cerveau baigné de neurotransmetteurs et d'hormones provoquant la jouissance très proche. Lorsque l'idée lui parvint, elle retenu l'idée de "quelqu'un qui regarde", ce qui acheva d'exciter cette humaine bel et bien perverse. Elle partit donc dans un profond orgasme se matérialisant à l'oreille de Ludwig par un son très particulier, indiquant sans conteste l'état d'Eri, frémissante, se cambrant sous la décharge d'ultime bonheur. Eri se laissa retomber dans l'eau pleine de bulle du jaccuzi, ouvrant la bouche pour reprendre sa respiration normale.

A cet instant, elle eut une vision légèrement trouble d'un Ludwig se masturbant au dessus de son visage marqué par la jouissance, jusqu'à sentir un fluide en sa bouche. Ce fluide qu'elle avait appris à aimer. Elle avait cependant entendu l'ordre de Ludwig et avala le fluide corporel si nourrissant avec un plaisir que n'avait pas tous les esclaves ni tous les partenaires. Sa fatigue commençait à se lire sur son visage, entre la luxure et le bonheur sexuel. Elle s'approcha de Ludwig et s'accrocha à son cou, haletante, le corps chaud et la peau douce.

Lorsqu'elle eut reprit son souffle, elle se blottit contre son maître en ne sachant s'il allait lui demander de faire quelque chose. Elle regarda Ludwig avec une mine heureuse et épanouie, arborant un joli sourire.

"Vous êtes bon Maître... Ça faisait longtemps que j'attendais ça."

Notre héroïne humaine et perverse, esclave dévouée au corps chaud-bouillant de son Maître Ludwig, se trouvait donc blottie contre ce dernier. Cette séance de sport intensif, dont les bienfaits étaient reconnus par la plupart des gens, avait fini par réellement détendre Eri, à cent pour cent. Blottie très étroitement contre le maître démoniaque, elle sentait une grande chaleur sur le devant de son corps, comme dans tout son corps entier... Sauf son dos sur lequel elle sentait un courant d'air frais. Surement à cause d'une différence de température avec l'air ambiant. Le grand écran passait toujours ce film très corsé, dont le voisinage devait connaître le contenu par le seul niveau sonore. Il fallait reconnaître également que les bruits émis dans les séquences tenaient d'un grand soucis de la précision. Cependant, l'œuvre audiovisuelle ne faisait plus l'effet intense d'auparavant sur l'humaine, qui n'était pas infatigable. Ils restèrent un moment comme ça, sentant les bulles de cette italienne baignoire à la fraîche ébullition sur leurs peaux. Eri n'avait pas encore remarqué le canard démoniaque à l'allure étrange. Câlinant Ludwig, blottie contre lui, Eri se sentait mise à légère distance, et ses seins caressés. Assise sur son maître et sentant avec un doux plaisir les caresses sur sa peau tactile, l'humaine pensait avec délice qu'elle n'était pas du tout mal tombée et que s'il continuait comme ça, elle aurait surement des idées extrêmement plaisantes fréquemment.

Eri vit un canard à l'allure bizarre mais étonnamment élégante venir avec une bouteille qui ne promettait pas d'être de l'eau. L'animal se dandinant, elle le détailla avec curiosité et bien qu'un peu perplexe, elle se dit que de toutes façons, si Ludwig ne le chassait pas et le laissait aller et venir, il n'était pas dangereux. Et en plus, elle avait des caresses de poitrine à apprécier... L'animal monta sur le rebord du jaccuzi et donna la bouteille au démon, puis s'envola vers une place aménagée au dessus d'un grand meuble. Eri, curieuse, ne put pas être distraite bien longtemps par ce fait étrange puisqu'elle fut arrosée de Bourbon qui, au nez, devait être de très bonne qualité. Elle regarda Ludwig lécher la boisson jusqu'à la dernière goutte, sur son corps humain aux belles courbes féminines. Eri frissonna à chaque coup de langue, ce qui l'excita de nouveau! Maître Ludwig était plein de bonnes idées décidément! Le maître de l'humaine avala sa boisson et demanda ostensiblement à cette dernière si elle aimait qu'il lui fasse cela. L'excitation de l'esclave n'était plus liée au sexe pur mais au désir d'être désirée de ce maître si aventureux. Elle eut alors une envie terrible de l'embrasser langoureusement, ce qu'elle fit en guise de réponse à la question posée. Avec passion, elle goûta la langue de son maître et l'alcool qu'il avait bu, récoltant un léger reste dans l'opération. Elle câlinait de ses mains son maître avec une grande tendresse, quoiqu'on pouvait détecter une once de coupable envie ajoutée à cette tendresse. Ils finirent par se décoller et Eri posa la question:

"Maître, je suis très fatiguée par mon séjour en cage mais si vous voulez autre chose, ce n'est pas grave, vous n'avez qu'à me demander..."

Elle ajouta pour préciser que ce n'était pas un conseil donné, mais une indication.

"Sans commander quoi que ce soit bien sûr."

Elle regardait déjà son maître avec attachement, alors qu'il ne l'avait pas achetée bien longtemps avant cet instant.

Eri, contrairement à la version pensée par son maître, n'était pas fatiguée de l'action précédente. Même si elle n'était qu'une humaine, bien entendu. C'est surtout le manque de sommeil durant son séjour en cage! Mais il ne fallait pas non plus la besogner pendant des heures, elle finirait par s'évanouir la pauvre. XD Après l'épilogue de la séance sportive, Ludwig sortit, laissant au regard de son esclave un corps mouillé et musclé juste ce qu'il faut. Il lui demanda de sortir aussi, ce qu'Eri aurait fait de toutes façons, par défaut. Il adorait donner des directives ce maître, elle se demanda s'il continuerait même sur les choses habituelles. Elle prit la serviette en remerciant poliment et se sécha, passant le drap de bain sur sa tête, séchant quelques mèches mouillées de sa chevelure. Elle continua sur les épaules, les bras... la poitrine et cetera jusqu'au pieds, se baissant et montrant son intimité à Ludwig sans le faire expressément. Elle relâcha sa chevelure et les couettes longues disparurent pour laisser apprécier de longs cheveux blonds glissant sur le corps doux de l'humaine.

[quote]"Avant que tu ne t'épuise totalement, j'aimerais bien que tu fasse un aille faire du café ! Mais avant, nous allons faire quelque chose qui va attiser ta sensibilité !"[/url]

Eri fut intriguée mais compris vite de quoi il retournait! Il semblait qu'elle allait faire du café toute nue avec un vibromasseur rose dans le sexe. Elle se laissa introduire l'engin, debout, les jambes frémissantes. Agrippant doucement son maître, elle ferma les yeux et soupira. Cette pauvre Eri n'avait pas fini de rougir, soupirer de plaisir, gémir... Et tout ce qui constitue la suite. Elle s'approcha de son maître et se colla à lui pour sentir sa chaleur. Elle ne savait pas si elle devait faire quelque chose de plus, s'il continuait à la titiller comme ça, elle aurait de nouveau envie de le sentir en elle. L'attitude d'Eri pouvait sembler ambigüe car elle avait des gestes très amoureux en apparence. Il arrivait qu'on la confonde, la prenant pour une petite amie, lorsqu'elle se promenait en rue avec son maître précédent. Mais C'était ainsi, elle n'était pas seulement perverse. Peut-être était-ce pour cela qu'elle était convoitée par toute la famille de maître? Parce qu'elle était aussi douce que perverse...




[HRP: Un peu petit par rapport aux autres, désolé, je me rattraperais. ^^[/HRP]