observation pour prochaine tentative de meurtre... [PV Wiver]

Pour Yoko il était parfaitement clair que pour un monde sans esclaves, il fallait détruire les descendants des douze familles avant qu'ils n'aient de descendants eux même. Mais avant ça, avant de les tuer, il fallait savoir observer. Pour elle, ça ne prenait pas longtemps grâce à sa mémoire absolue. Elle pourrait dire tout ce qu'il avait fait en une seule et même journée dans les moindres détails. Yoko s'était armée ce jour là, observer Wiver pouvait se révéler très dangereux étant donner qu'il était un gardien, un chevalier et celui qui mit en déroute Dreak, le lycan. Elle possédait un grand nombre d'armes et devait les choisir en fonction de sa cible. Par exemple, Wiver pouvait maitriser le feu et pouvait devenir invisible. Le meilleur moyen de battre un être invisible était de l'emmener sur un terrain boueux. Il laissait forcément des traces.
Enfin, ça c'était pour les assassins qui ne savaient pas vraiment se battre. Yoko avait été formée pour pouvoir remplacer n'importe lequel de ses sens. Si tu ne vois pas, fais confiance à ton ouïe. Et Yoko savait écouter. Elle se souvenait de chaque son, de chaque détail. Par contre, contre le feu, elle ne pouvait pas faire grand chose, à part se battre près d'une source d'eau...
Mais aujourd'hui, il fallait qu'elle découvre le oint faible de Wiver Blades. C'est donc avec ses éventails en main, ses sabres dans son dos, ses sais aux mollets, ses nunchaku aux cuisses et un quiang également dans son dos qu'elle se rendit chez Wiver Blades. Elle grimpa silencieusement dans un arbre et attendit de voir quelque chose d"intéressant. Elle murmura doucement pour elle même.

-Viens Wiver Blades, montres moi ce que j'ai à savoir...

Ce démon était des plus étranges. En effet, Wiver avait le même rituel tous les matins, comme un vieux papy qui se refusait à changer d'habitudes. Elle repensa à son grand père qui, le dos courbé, lui avait apprit les techniques de ses ancêtres pour devenir une professionnelle des armes. Il était rare que les femmes soient des combattantes, car elles étaient plus faibles physiquement. Mais il n'était pas seulement question de force dans un combat. Au contraire, les femmes étaient douées pour retourner la force de l'ennemi contre eux même. Et Yoko était de loin la meilleure dans son domaine. De plus, en voyant combattre une personne une seule fois, elle pouvait reproduire cette technique et en trouver la faille.
Toujours est-il que Wiver Blades avait ses habitudes, se lever aux aurores, prendre le journal, et le lire. Mais cette fois-ci, il eut l'air renfrogné. C'est vrai qu'on parlait de la fuite de Dreak. Elle sourit en y pensant. Elle n'avait pas eut le temps de discuter avec lui mais elle aurait bien aimé savoir tous les détails de ce combat. C'est dans un sourire qu'elle le vit jeter le journal au feu.
Wiver se mit assit, il avait un ait pensif. Il devait penser à Dreak. Quelle ironie tout de même. Wiver était une des cibles principales, et Dreak tombait sur lui par hasard. Yoko se permis d'observer les galbes du corps du démon. Dommage qu'il soit une cible, vraiment dommage, il était vraiment très beau torse nu. Elle sourit et se crispa quand elle entendit la branche sur laquelle elle était craquer. Elle sauta au sol sans le moindre bruit et leva la tête vers la fenêtre de Wiver. Elle devait faire très attention, il allait peut-être arriver et l'attaquer. Même si les conditions climatiques étaient en faveur de Yoko. Elle prit en main ses sais, à tout hasard.

Yoko soupira, il ne s'était pas rendu compte de sa présence. C'était bien, très bien même. Mais maintenant, il lui fallait un nouveau point d'observation, sa branche étant tombée. Rester derrière le tronc d'arbre ne lui laissait pas assez de vue d'ensemble sur Wiver. Elle pu tout de même l'apercevoir en train de boire un verre de whisky. D'après ce qu'elle avait apprit de lui dans ses enquêtes c'est qu'il adorait cette boisson. Elle sourit. Qu'il serait simple d'empoisonner une bouteille de whisky déjà entamée. Encore fallait-il pouvoir se faufiler chez lui. Et ça, c'était loin d'être dans ses habitudes. Surtout que si elle rentrait, elle ne serait pas sur son territoire mais sur celui de Wiver. Il était peut être truffé de pièges.
Elle leva la tête pour se trouver un perchoir et en trouva un, une branche un peu plus grosse que la précédente. Elle prit son élan et sauta dessus. Ennuis, le vent soufflait très fort de ce côté de l'arbre et sa robe ample voletait, montrant ses armes cachées sur ses jambes, ainsi que ses sous vêtements. Elle s'en moquait, tant qu'on ne la voyait pas. Elle se pencha pour trouver un équilibre et observa Wiver. Ce démon était étrange, elle aurait cru qu'il aimait plus l'action que ça tout de même... Un gros coup de vent lui fit lâcher un de ses éventails qui alla se coller à la fenêtre. Et... Mer... credi... Elle était cuite. Elle allait devoir se battre, c'était indéniable. Elle se leva sur sa branche et remit inutilement en place ses longs cheveux qui battaient la cadence du vent. Elle fit un sourire en direction du démon et prit ses nunchaku. Avec le vent qu'il y avait, il valait mieux des armes pas trop fines et longues...

-Approche petit démon, je sais que j'ai des chances de m'en sortir blessée, voire être emprisonnée, mais je ne vais pas me laisser faire aussi facilement...

Pour Yoko, la vie qu'elle possédait était plus importante que tout car elle savait que si elle restait en vie, elle pourrait faire bouger les choses dans ce monde.

Elle regarda la fenêtre où Wiver avait disparut. ce démon avait osé se rendre invisible. Il ouvrit sa porte avec une violence telle qu'elle sursauta. Elle ne le voyait pas, ni ne l'entendait pas. Il comptait peut-être lui faire croire qu'elle pouvait avoir confiance en lui. Mais il était pas croyable... Elle se leva sur la branche, un coup de vent faisant voler ses longs cheveux et sa robe ample. Elle remit ses cheveux en place et prit ses nunchaku et le regarda dans les yeux, lui parlant avec froideur.

-Venir chez toi Wiver Blades? Je ne préfère pas m'aventurer dans cet endroit démoniaque... J'ai apprit assez de choses sur toi pour qu'on puisse te réduire à néant une bonne fois pour toute... Dreak sera sûrement heureux de prendre une revanche sur toi...

Elle fit un salto arrière pour atterrir sur le sol mouillé. Elle fit un sourire en se relevant, et fit tournoyer ses nunchaku. Elle n'allait pas s'approcher de lui, c'était une chose certaine. Certes, certains anges et démons pourraient l'y obliger, comme Ludwig, Saphire et Kagao, mais Wiver n'avait pas ce pouvoir. Elle lui sourit de nouveau.

-Tu as trop peur de moi pour t'approcher peut-être Wiver. Il pleut, ton pouvoir sur le feu est amoindrit, et l'invisibilité t'es inutile... J'ai un avantage certain sur toi, je sais plus de choses sur toi que tu n'en sais sur moi...

Elle n'allait pas commencer les hostilités, le premier à attaqué avait plus de chances de perdre. Même si elle était plus faible que lui physiquement, elle pouvait apprendre ses techniques en une fois, et pouvoir les reproduire... Elle se lécha les lèvres en attendant que Wiver daigne arriver.

A ces mots, je cru bien comprendre que la résistance en savait plus sur moi qu'un quelconque individu ou citoyen d'Atlantica.
Ils étaient donc la pour nous nuire ? Se n'était pas une nouvelle mais elle semblait bien connaître mes propres affaires peut être plus que les siennes d'ailleurs.
J'épiais celle ci, elle était sur l'herbe à quelques mètres du perron, moi toujours invisible je la fixais d'un air maussade et froid presque cruel et réfléchissais.
Elle parlait de Dreak, si s'était simplement pour m'énerver pour me faire repérer elle n'y arriverai pas quoi que son nom m'irritait cela s'était sur et certains mais je n'allais pas perdre si facilement face à une femme aussi stupide qu'infantile.
Oui son comportement était puérile, il m'était si simple de la tuer la sur le coup, que se sois malgré la pluie ou le fait qu'elle me voit par mes pas dans l'herbe, il y avait encore des choses qu'elle ignorait et j'allais vite effacer se sourire de son visage qu'elle m'en suppliera plus tard de l'achevé.
Je me rendais visible à ses yeux, je n'aurai pas besoin de mon pouvoir pour lui montrer que j'étais sans doute le plus cruel de tout les 12 familles fondatrices.
Des armes blanches en mains ? Quel importance ?! Je l'aurais pris au sein de mes griffes avant qu'elle est pu faire la moindre attaque et parade.

Moi peur....Je crois que tu tes mis dans une bien mauvaise posture.....

Je me téléportais en un instant derrière elle, je lui saisissais le poignet gauche avant de lui donner un grand coup avec force et rapidité dans la nuque la rendant inconsciente d'un seul coup.
Se moquer d'un fondateur est une chose bien facile mais lui tenir tête est une autre paire de manche.
Je me téléportais de nouveau la portant à bout de bras telle une mariée mais la s'était plutôt telle le futur cadavre qui allait avant de mourir répondre de ma cruauté et de ma vengeance face aux affronts qu'elle m'avait sermonnée.
Nous étions maintenant dans les sous sols de la demeure, il y faisait sombre et une humidité légère.
Nous étions dans une salle close, aucune issu sous la terre.La porte blindée avait été soigneusement refermée derrière moi.
Je l'installais sur la chaise imposante lui attachant pieds et mains liées à la chaise ainsi qu'au sol par des chaînes solides qui arrivait à maintenir n'importe quel créature telle que les lycans ou même un démon.
J'avais pris soins d'apporter quelques affaires avec moi, j'étais toujours torse nu, je saisissais le sceau d'eau froide et lui balançais le liquide en plein visage.

Réveille toi ! C'est finis la sieste ma belle....

Cette salle...S'était la salle de torture des Blades, il y avait de quoi faire et nul ne sortais de cette salle sans le bon vouloir du démon.Avant qu'elle ne se réveille ses armes qu'elle portait sur elle et autres instruments pouvant nuire au démon lui avait été enlevés.

Yoko le regarda devenir visible, elle ne comprenait pas les démons qui se croyaient au dessus de tout. Comment les anges et les démons pouvaient vivre en une quasi harmonie? Tout à coup, Wiver disparut, sans le moindre bruit, et elle reçu un coup derrière la tête, tombant dans l'inconscience. Elle tomba, et ne se sentit pas portée. Elle rêvait.

[5 ans auparavant]

Yoko se trouvait face au parrain de la mafia chinoise. Il voulait que Yoko tue des personnes pour lui. Personne ne se méfiait d'une jeune et jolie demoiselle, une magnifique danseuse. Mais ça n'intéressait pas Yoko. Yoko n'aimait pas tuer. Il lui fallait une bonne raison pour tuer. Et là, elle préférait rester avec Huang Lyu, l'homme qu'elle aimait, et qui avait reçu la même formation qu'elle. Elle quitta l'homme pour se rentrer chez elle. Quelle ne fut pas son effroi en voyant du sang partout, ses parents et ses petites sœurs décapités et démembrés. Quelle horreur. On avait ordonner leur mort pour qu'elle comprenne qu'elle devait obéir. Elle était vraiment en colère, elle fit un tatouage, signe de vengeance, et tua tous ceux qui se mettaient sur son chemin. Elle obtint le nom de celui qui avait tué sa famille... Huang Lyu. L'homme de sa vie... Elle avait été trahie... Un long combat s'ensuivit, et elle le castra, le laissant en vie

Yoko fut réveillée en sursaut par un saut d'eau. Elle secoua sa tête et tira un peu. Elle était solidement attachée. Elle avait manqué de prudence. Elle jeta un bref coup d´œil à l´endroit où elle se trouvait. Une salle de torture avec pour seule sortie une porte blindée. Wiver allait donc la torturer... Surement pour assouvir un plaisir sadique. Il fallait qu´elle trouve rapidement un moyen de s´enfuir de ce lieu. Il fallait qu´elle reste en vie pour rapporter ce qu´elle avait vu. Elle regarda les chaines qui la maintenaient.

-tu veux me faire parler??? Ou juste me torturer pour le plaisir? Peut-être veux tu venger ce chancelier à qui tu tenais tant...

Yoko regarda le démon qui faisait le tour d'elle, surement histoire de voir si elle allait d'échapper. Elle regarda les chaines qui l'attachaient. Il fallait qu'elle ouvre les serrures avec une épingle. Elle en avait cachées dans sa robe, mais elle devait faire ça discrètement... Ce démon ouvrit une malette où elle aperçu des objets de torture qu'elle avait déjà vus pour certains. Elle gémit légèrement. Elle était dans de beaux draps. Pour commencer, le démon lui cracha au visage. Beurk de la bave de démon. C'était des plus dégoutant. Elle fit une grimace et regarda le démon. Elle le regarda en soupirant. Elle l'avait mis en colère en parlant de l'ancien chancelier? Ou était il complètement indifférent à la mort de ce dernier? Il le semblait en tous cas. Et puis, c'était un démon. Les démons ressentaient-ils des sentiments? surement non, après tout, ils avaient avilis la race humaine. Une question lui fut alors posée. Allons, n'était-ce pas évident?

-n'est-ce pas évident? Je suis amoureuse de toi, je venais juste te voir torse nu... J'en ai eut presque pour mon compte... Il ne me reste qu'un petit détail à voir...

Elle sourit, il n'était pas né celui qui lui ferait dire ce qu'il voulait à la donzelle. Naturelle et presque toujours -voire jamais avec démons et autres créatures qui se croient au dessus- franche, elle s'amusait à faire tourner en bourrique ceux qu'elle détestait. Le démon lui posait des questions? Elle y répondait... Et si par hasard elle y glissait la vérité, ça passait inaperçu. Elle ferma les yeux en commença une sorte de méditation comme le lui avait apprit son grand père.

Yoko regardait le démon, il devait se poser pas mal de questions sur elle. Mais pourquoi répondrait-elle? Elle essaya de tirer sur ses chaines et soupira, elle ne pourra jamais les enlever par la force. Le démon semblait ne pas se décider. Peut-être essayait-il de trouver la meilleure méthode de la faire parler. Il lui parla alors d'un marché. Elle eut les larmes aux yeux à l'évocation des êtres qui lui étaient chers. Elle se mordit la lèvre inférieure. Elle lui fit un petit sourire et le regarda, pleurant toujours.

-Tu as cinq années de retard Wiver, toutes les personnes qui me sont chères sont mortes... Et la personne la plus proche de moi en ce moment, c'est toi Wiver...

Elle le regarda et soupira, écoutant ses questions... Ok, elle allait y répondre, au mieux, c'était pas si important.

-Je m'appèle Yoko... Je suis venue ici de mon plein gré... Donc personne ne sait que je suis ici, mais on remarquera quand même mon absence. Et pour finir, je connais Dreak, j'ai vu sa photo... Il coûte cher... Je ne sais pas du tout où il se trouve...

Elle lui fit un petit sourire et le regarda, réfléchissant à ses questions à elle.

-Alors Wiver? Quelle était ta relation avec l'ancien chancelier? Que comptes tu faire de moi? Et quand vas tu devenir quelqu'un avec des sentiments? Car manifestement, tu ne ressens rien...

Yoko écouta les réponses du démon. Elle ne pouvait pas lui retirer ça, il était intelligent. Par contre ses paroles étaient sèches, presque agressives. Il ne semblait pas heureux d'y répondre, et il ne savait pas quoi faire d'elle. Elle avait une chance d'en réchapper vivante. C'était le plus important... Elle murmura pour elle même les paroles de sa mère.

-Si tu meurs, rien ne changera, si tu restes en vie, quelque chose changera...

Elle soupira, penser à sa mère lui faisait toujours aussi mal, c'est pour ça que généralement, elle pensait à autre chose, elle occupait son cerveau qui ne dormait jamais. Elle jouait aux échecs, ou faisait d'autres choses, elle lisait de nouveaux romans. Mais là, Wiver lui remettait en mémoire sa famille. Elle le regarda en soupirant. Il semblait regarder son corps. Par réflexe, elle baissa les yeux vers sa robe devenue transparente par l'eau. Elle rougit et se débattit contre ses chaines pour se cacher. Il lui posa une question, et tout en se débattant, elle lui répondit.

-Ne me regardes pas... Et le on, ce sont les personnes qui me voient m'entrainer tous les matins... Mon grand père me disait que le combat est une autre sorte de danse... Et pour l'un comme pour l'autre, c'était un entretien quotidien... Je t'ai déjà vu t'entrainer Wiver... Tu oublies de t'étirer...

Elle sourit, et regarda Wiver, se débattant toujours, il n'avait pas le droit de la regarder. D'ailleurs, elle n'avait même pas vu s'il l'avait débarrassée de ses armes.

Yoko n'en revenait pas. Ce démon ne voulait pas en démordre. Il voulait ses informations. et il comptait bien les lui arracher, de gré ou de force. Et bien elle ne dira absolument rien. Il lui fallait penser à autre chose. Il coupa alors sa robe et elle poussa un petit cri. Elle se retrouvait en boxer et rien d'autre. Elle se débattit contre ses chaines pour cacher ses seins nus. Mais ils se retrouvaient toujours à l'air libre. Qu'allait-il faire? Elle ne devait rien répondre, elle ne devait pas lui dire ce qu'elle savait, car elle en savait des choses... Elle eut alors une idée... Pour toute réponse, elle allait réciter le nombre Pi... C'était un excellent exercice de concentration. Elle eut un petit sourire et commença à réciter...

-3,141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 502 884 197 169 399 375 105 820 974 944 592 307 816 406 286 208 998 628 034 825 342 117 067 982 148 086 513 282 306 647 093 844 609 550 582 231 725 359 408 128 481 117 450 284 102 701 938 521 105 559 644 622 948 954 930 381 964 428 810 975 665 933 446 128 475 648 233 786 783 165 271 201 909 145 648 566 923 460 348 610 454 326 648 213 393 607 260 249 141 273 724 587 006 606 315 588 174 881 520 920 962 829 254 091 715 364 367 892 590 360 011 330 530 548 820 466 521 384 146 951 941 511 609 433 057 270 365 759 591 953 092 186 117 381 932 611 793 105 118 548 074 462 379 962 749 567 351 885 752 724 891 227 938 183 011 949 129 833 673 362 440 656 643 086 021 394 946 395 224 737 190 702 179 860 943 702 770 539 217 176 293 176 752 384 674 818 467 669 405 132 000 568 127 145 263 560 827 785 771 342 757 789 609 173 637 178 721 468 440 901 224 953 430 146 549 585 371 050 792 279 689 258 923 542 019 956 112 129 021 960 864 034 418 159 813 629 774 771 309 960 518 707 211 349 999 998 372 978 049 951 059 731 732 816 096 318 595 024 459 455 346 908 302 642 522 308 253 344 685 035 261 931 188 171 010 003 137 838 752 886 587 533 208 381 420 617 177 669 147 303 598 253 490 428 755 468 731 159 562 863 882 353 787 593 751 957 781 857 780 532 171 226 806 613 001 927 876 611 195 909 216 420 198 938 095 257 201 065 485 863 278 865 936 153 381 827 968 230 301 952 035 301 852 968 995 773 622 599 413 891 249 721 775 283 479 131 515 574 857 242 454 150 695 950 829 533 116 861 727 855 889 075 098 381 754 637 464 939 319 255 060 400 927 701 671 139 009 848 824 012 858 361 603 563 707 660 104 710 181 942 955 596 198 946 767 837 449 448 255 379 774 726 847 104 047 534 646 208 046 684 259 069 491 293 313 677 028 989 152 104 752 162 056 966 024 058 038 150 193 511 253 382 430 035 587 640 247 496 473 263 914 199 272 604 269 922 796 782 354 781 636 009 341 721 641 219 924 586 315 030 286 182 974 555 706 749 838 505 494 588 586 926 995 690 927 210 797 509 302 955 321 165 344 987 202 755 960 236 480 665 499 119 881 834 797 753 566 369 807 426 542 527 862 551 818 417 574 672 890 977 772 793 800 081 647 060 016 145 249 192 173 217 214 772 350 141 441 973 568 548 161 361 157 352 552 133 475 741 849 468 438 523 323 907 394 143 334 547 762 416 862 518 983 569 485 562 099 219 222 184 272 550 254 256 887 671 790 494 601 653 466 804 988 627 232 791 786 085 784 383 827 967 976 681 454 100 953 883 786 360 950 680 064 225 125 205 117 392 984 896 084 128 488 626 945 604 241 965 285 022 210 661 186 306 744 278 622 039 194 945 047 123 713 786 960 956 364 371 917 287 467 764 657 573 962 413 890 865 832 645 995 813 390 478 027 590 099 465 764 078 951 269 468 398 352 595 709 825 822 620 522 489 407 726 719 478 268 482 601 476 990 902 640 136 394 437 455 305 068 203 496 252 451 749 399 651 431 429 809 190 659 250 937 221 696 461 515 709 858 387 410 597 885 959 772 975 498 930 161 753 928 468 138 268 683 868 942 774 155 991 855 925 245 953 959 431 049 972 524 680 845 987 273 644 695 848 653 836 736 222 626 099 124 608 051 243 884 390 451 244 136 549 762 780 797 715 691 435 997 700 129 616 089 441 694 868 555 848 406 353 422 072 225 828 488 648 158 456 028 50...

Pendant qu'elle récitait, elle observait le démon, le moindre de ses gestes. Il devait se demander quels étaient tous ces nombres qu'elle récitait.

[hj: ma source http://trucsmaths.free.fr/images/pi/pi2400.htm]

Alors la, il faudra pas dire que Wiver n'avait pas eut la patience face à une telle légèreté qui lui était à la limite du supportable.Alors elle voulait jouer avec mes nerfs ?! Moi ?! Un des 12 héritiers se faire tenir tête par un de ces insectes à la banderole emplie de haine et d'idioties ?Enfin je me déplaçais et d'un bon la giflais vivement une fois m'arrêtant un temps, puis une seconde fois du revers de la main sur l'autre joue.
Mon visage impassible restait de glace et seule mes yeux plus brillant qu'à l'habitude laissait envisagé la colère qui régnait en maître sur mon instinct démoniaque.
Je la détachais, il ne lui restait que deux paires de chaînes aux mains et aux pieds, puis la soulevait violemment l'amenant un peu plus loin dans la salle ou était suspendu un crochet de boucher au plafond relié à un mécanisme de poulie faisant déplacé le crochet dans la longueur de la pièce.
Il n'en fallut pas plus de quelques minutes avant que je la suspende par ses menottes dévoilant son corps dans toute sa longueur, ses poignets souffrirait déjà de cette posture qui devait lui lacérer la chaire.

Alors comme sa on veut jouer....Et bien jouons !!!

Wiver prit alors le fouet qu'il avait attaché à sa ceinture, puis frappa le sol qui claqua avec puissance et retentis avec écho dans la grande salle.
J'assénais le premier coup qui percuta le dos de la jeune femme avec finesse et précision, une marque rouge commençais déjà à se dessiner.
Je recommençais ce mouvement plusieurs fois d'affilé criblant ce magnifique dos d'humaine rouge laissant quelques coupures et de léger filets de sang ruisselé le long de son bassin et de ses cuisses.
La patiente à ces limites et Wiver n'était déjà pas du genre patient, si elle ne voulait lui donner explicitement ce qu'il demandait cette cave serait son cercueil.

Yoko regardait, tout en énonçant le nombre pi, le démon qui la fit taire par une gifle, et le revers, ensuite. Elle gémit de douleur et cracha au sol. Un peu de sang en coulait. Elle leva les yeux vers lui, l'air de lui dire "c'est tout ce dont tu es capable?". Mais Wiver n'en avait pas encore fini avec elle, loin de là. Il la détacha et elle essaya de s'échapper, mais il la tenait bien trop pour qu'elle puisse le faire. Les bras attachés en l'air elle gémit de douleur, les liens sciant ses poignets déjà endoloris. Elle attrapa les chaines pour avoir moins mal. Il lui annonça alors qu'ils allaient jouer. Elle gémit. Le fouet claqua au sol près d'elle et elle le regarda, elle allait vraiment avoir mal. Et ensuite, le fouet venir lécher sa peau. Elle se mordit la lèvre inférieure au sang. Elle ne voulait pas lui donner la satisfaction de crier sous ses coups. Elle ne dirait rien, pas un nom, pas un lieu, rien. Elle ne devait pas dire quelque chose qui pourrait mettre en danger les autres. Elle cria, alors lors du dernier coup de fouet. Elle allait lui dire ce qu'elle savait, les seules choses qu'elle savait.

-je... Je ne connais que Dreak et Luck... C'est tout... On ne se réunit jamais... On ne fait rien ensemble... Surtout moi... Avec mon... mon pouvoir... Je ne peux pas les connaitre...

Yoko se rendit compte qu'elle avait trop parlé. Encore que. Ce démon devait être un peu idiot pour ne pas avoir deviné son pouvoir. Ne venait-elle pas quelques instants plus tôt réciter le nombre Pi à 2400 décimales? Elle se retrouva assise sur ses genoux, en seiza. Lui, il se prenait vraiment pas pour un moins que rien, l'observant de haut. Elle soupira et fit un sourire douloureux tout de même.

-Tu n'as pas la moindre idée??? Ma mémoire... Je me souviens de tout... Absolument tout... L'odeur de ton parfum que tu as utilisé le mois dernier. La chemise que ton chancelier te coud sans que tu le saches... Noire brodée d'or et de bleu... Plutôt doué le chancelier, enfin, pour ça...

Elle eut un léger sourire. Elle avait énormément lu. Elle était capable de réciter tout un roman sans le lire une seconde fois. Elle regarda le démon en essayant d'enlever ce qui la maintenait attachée. Mais elle ne pourrait partir que quand la porte serait ouverte. Elle regardait souvent la porte, dans l'espoir de la voir s'ouvrir. Une fois cette entrave enlevée, elle pourrait partir, et aller se reposer, et se soigner. Avant qu'il ne se téléporte de nouveau. Démon perfide...

-Bon, maintenant que tu en sais autant que moi... Je peux y aller?