Les sources chaudes..... Et ouais. C'est limite a se demander comment je peut m'être décidé a me payer un tel luxe, pas vrai? Et bien c'est simple, je ne l'ai pas payé, je l'ai gagné. L'un de mes clients m'en a fait cadeau en guise de paiement sans que je ne puisse rien dire contre. Bref, voyez la scène. Angeler, qui est de ce fait un mercenaire et guerrier accompli, se retrouve obligé de se baigner (et donc sans arme) dans un endroit inconnu, entouré de gens inconnu... généralement ce genre de mariage ne fait pas bon ménage. Mais bon, que voulez vous. Quitte a l'avoir, autant s'en servir pas vrai. Et puis... ça faisait maintenant combien de temps qu'il avait pas pris un bon bain dans un lieu pareil ? Il était déjà venu, en fait, mais cela remonte a si longtemps qu'il sembla ne pas avoir reconnu le lieu. Il se gratta machinalement l'arrière du crâne. Tout semblait calme... étrangement trop calme à son goût. Alors qu'il franchit l'entrée, il assistai a une sorte de braquage? En s'approchant de plus près il se rendit compte qu'il s'agissait d'une prise de tête armée entre deux employés.... Bientôt rejoint par tous les employés qui venaient de prendre parti dans l'histoire. Je vins me planter entre les deux camps, comme si rien était, sous le regard surpris et choqué des concernés et des clients.
L'un d'eux me fit signe de dégager, et je lui tendis mon bon pour mon séjour ici. La plus vielle sembla me reconnaître et vins m'attraper par le bras avec un large sourire pour me demander d'attendre bien sagement que ça ait fini. Mais je n'avais ni l'envie ni la tête a me montrer patient. Mon fourreau vint alors assommer les deux fauteur de trouble pendant que les autre reculèrent. On me prit moi et les autres client donc rapidement en charge alors que j'enfilai le petit kimono blanc de pensionnaire qu'ils mettaient a notre disposition après qu'on m'aies guidé a ma chambre. Non mais franchement... J'étais pas venu pour faire le gendarme, mais pour m'accorder un instant de détente et de repos....Le temps passai lentement et je me décida, étant arrivé en milieu d'après midi, a aller prendre un peu l'air, mon sabre tapotant contre mon dos, comme habituellement. Tout semblait calme... toujours trop calme. Quelque chose viendrait-il gacher ce moment de détente? A mon avis, sans aucun doute. Après tout, que voulez vous, Je ne pouvais cependant pas m'empêcher d'avoir un mauvais pressentiment. Vous savez... ce genre de pressentiment que vous ronge en vous disant quelque chose du genre "t'es dans la merde, mon grand" .... ben ce genre la.