Wiver et la néréide

Tapis dans l'ombre d'une pièce se trouvait la allongé un corps inerte emmêlé dans les draperies de sa couche le visage d'ange d'un être qui était pourtant le pur fruit d'un union démoniaque.
Se n'était ni les charmes qu'il dégageait de sa beauté naturelle ni son art habille pour les armes blanches telle que le maniement des épées et des sabres en tout genre mais belle et bien le sang bouillonnant au confins de ses veines qui révélait la véritable nature de cette créature digne d'un ange tombé du ciel.Il était né démon malgré lui, il n'avait rien choisis que se sois sa famille ou sa race ou ses conditions de vies comme tout le monde devrions nous dire.Il n'avait rien de spéciale sauf peut être son nom Blades, illustre famille de démon durant des décennies, des siècles, et des millénaires ce nom en avait fait tremblé plus d'un en ce bas monde et dans d'autre contrée plus arides et hostiles que celui ci.
Beaucoup de sang avait coulé sous ce blason à tête de loup aux crocs aussi pointu et aiguisé que ceux des démons ou des vampires.
C'est en cette illustre famille de tueur et d'aristocrate que nous nous étions légèrement penché sur un lit faiblement éclairé par la lumière du soleil qui était au rendez vous c'était bien rare d'ailleurs car la plupart du temps le temps maussade et le tambourinement de la pluie sur les carreaux de la chambre ne faisait que retentir en ces lieux.Les yeux de celui ci finirent par s'ouvrir lentement face à la lumière du jour qui venait perturbée sa nuit déjà bien avancé maintenant dans la matinée il devait être presque onze heures déjà et le jeune homme gémissant de plainte face à cette dur réalité qu'il venait de constater c'est à dire " et merde saleté de soleil qui viens perturber mon sommeil " rien que sa oui il se leva feignant comme pas un et finis par se diriger vers sa salle de bain ou il se lava et se prépara pour une journée de plus dans cette demeure.
Le démon aux yeux rouges vifs finit par mettre sa veste de cuir noire et chaussa ses bottes de cuirs noire de l'armée lorsqu'il était en apprentissage militaire encore à l'époque mais s'était il y a très longtemps néanmoins il continuait de les chausser en souvenir du bon vieux temps sans doute.
Enfin la journée allait pouvoir débuter avec...un verre de ce bon vieux bourbon de 1864 Whisky était sans doute sa boisson favorite mais de la à en prendre dès le matin il fallait être un ivrogne ou quelque chose dans ce genre non ?
M'enfin bref il mangea un petit quelque chose, peut être un morceau de pain ou un fruit la cuisine était tellement sombre que personne n'y verrai grand chose.
C'est ici que ce finis mon intervention j'en es déjà trop dis...Je vous laisse contempler l'arme démoniaque de l'enfer hihihi...
Un sifflement parcourut mes oreilles j'avais l'impression d'avoir entendu un rire fracassant presque cassant s'évanouir dans cette pièce même.
Encore des illusions c'est tout ce don je pouvais être sur et c'était la seul réponse concrète que je tenais pour sur...Mon état ne s'améliorait pas avec le temps.

*Peut être que père avait raison finalement je ne peux lutter contre ma nature...*

Je marchais lentement après avoir bu un autre verre d'alcool me faisant oubliée mes migraines et mes plaintes et se sifflement incessant bourdonnant dans mes oreilles raisonnant dans ma tête j'avais besoin de changement mon corps je réclamait il était temps de mettre fin à ce que j'avais toujours essayé d'être...Quelqu'un d'autre.
Je recevais chaque matin des nouvelles de la ville, un vieille homme aveugle faisait sa ronde et sa petite promenade matinale tout les matins, s'était un ancien un des plus vieux humains que je connaisse.Sa maitresse était une femme belle et sulfureuse de désir néanmoins elle l'avait prit en pitié et le laissait maintenant à ses services que pour des taches peu fatiguant elle voulait qu'il est une mort paisible.
Justement il vient me rendre visite seule cette fois si sa maîtresse l'attendait un peu plus loin munit d'un parapluie noire sous un soleil aussi frêle et éblouissant elle ne supportait sans doute pas cette chaleur naturelle tout comme moi mais pour le réveille.
Je le saluait le priant de s'asseoir sur un des chaises qui était posée sur la véranda il me remercia puis finis par se poser un instant.

Et bien sir Blades vous m'avez l'air d'une humeur fracassante....

Je souriais légèrement hochant la tête en signe d'amusement faisant signe que non malgré qu'il soit aveugle il ressentait bien les choses ce vieille homme.

Et bien je vois que je ne pourrai jamais rien vous cacher Nestor...

Oh vous savez Mr.Blades depuis le temps que je vous connais j'ai bien compris que quelque chose n'allait pas en vous vous savez...

Je sais oui...Les jours passent mais il ne se ressemblent pas....Je commence à fatiguer....

Pourquoi continuer à lutter Mr ? Vous avez fais ce don aucun démon n'avais jamais osé faire et je trouves sa admirable....
Il est temps pour vous d'arrêter tout sa....

Il se releva je le fixais un instant de mes yeux rubis, puis l'aidait à redescendre les marches le raccompagnant jusqu'à sa propriétaire la remerciant encore pour ce qu'elle faisait puis j'en retourna chez moi d'un pas décider.

Au revoir Nestor....

Il me retint par l'avant bras avec autant de force et de vigueur que je ne pu imaginer, je me retournais face à son visage vieillis et ternis par le temps et il me répondit.

Vous valez mieux que quiconque Mr.Blades...Et personne ne devrai vous reprochez maintenant ce que le pourquoi vous êtes née....Les gens comprendront j'en suis sur....

Je rentrais chez moi, je voulais après ce que venais de me dire le vieillard aller faire un tour en ville, je prenais le nécessaire mon épée attacher fermement dans mon dos accumulant le poids de mes bagages par ma sacoches remplis de divers choses telle que de l'argent ainsi que quelques potions ou autres chose encore.
La ville était d'une humeur grisâtre, le soleil ne pouvait rien faire face aux industries polluant le ciel de leur fumée sortant tout droit des hautes tours sphérique des usines.
Je marchais à mon pas à travers la foule, me dirigeant vers un lieu précis et apprécié des gens de mon espèce...Les salles de ventes de l'île.
Je n'y étais venu que peu de fois avec père qui avait besoin de personnels fort et vigoureux pour ses expérience qu'il faisait en bas dans notre cave qui ressemblait plus à une tanière de trappeur ou de chasseur de monstre qu'autre chose.
j'étais sur la grande et immense place, tant de misère pourtant les esclaves semblaient si épanouis et si réjouissant dans leur cage d'argent, on pouvais les droguer ou les mettre sous calmant pour en faire ce qu'on en voulait c'est à dire un produit de pur qualité et de marchandise.
Mes yeux ne savaient pas ou se poser ce lieu me m'était mal à l'aise et les gens qui me reconnaissaient jasais à ma vu ou me craignais et s'éloignait pour mieux parler sur mon dos.
Je ne trouvais pas mon bonheur je n'en avais jamais eut d'ailleurs avec ces pauvres choses, ces êtres humains si fragile...Je m'apprêtais à partir et à retourner en ma demeure quand une voix fine m'interpela, elle venait d'une de ces nombreuses cages.

Je me retournais donc et aperçu au milieu des grilles et des cages posé au sol sur cette place pavés de pierre semblable autant les unes que les autres une sorte de caisson en verre empli d'eau.
Ma première surprise fut de ne pas l'avoir vu du premier coup d'œil, ensuite se fut là, la personne qui s'immergeant de l'eau et se tenant malgré les liens qui la liaient aux pieds pour qu'elle ne puisse pas fuir son lieu d'achat.
Je m'avançais épiant ce qui était belle et bien une hybride, les propos qui me venaient à l'esprit à l'égard de celle ci était qu'elle aurait mieux été en liberté plutôt que dans ce vulgaire caisson que j'appelais plus comme un bocal à poisson qu'autre chose.
M'enfin une hybride cela ne se voyait,pas tout les jours, surtout que nous avions dans la famille un certains intérêt à recueillir des hybrides au sein de notre demeure par le fait qu'ils étaient unique les uns les autres.
Du temps de mes ancêtres autres que le désir du combat et la passion pour les armes tels que celle que je porte à mon dos forgé par mon propre père qui avait su fusionnée plusieurs alliages tel que l'acier et l'argent utile contre les ennemis tel que les lycans qui était alors plus facile à maitriser dans un combat qu'avec une simple épée en fer forgée.

Je fus à quelques pas de celle ci elle avait demandé une chose bien curieuse moi qui avait pour habitude de voir des esclaves non content de leurs sorts mais si docile par les bienfaits des pouvoirs de Kagao ce fut la une motivation bien surprenante que de vouloir se faire acheter.
Les hypothèses étaient nombreuses et se confondaient dans mon esprit, voulait elle simplement sortir de ce bocal pour fuir plus tard ou voulait vraiment une personne qui pouvait lui fournir protection et sécurité jusqu'à sa mort ? Et si oui quel en était le prix à payé ? Elle ne savait rien de moi, ni d'Eve ni d'Adam elle avait aperçu un potentielle acheteur et s'était engouffré dans l'étroit passage qu'était la domination et la soumission entre deux individus en l'occurrence moi et l'hybride.
Je la regardais d'un œil amusé avant de prendre la parole je fis un geste vif prenant son menton dans ma main, j'avais avant préalablement enlevé mon gant pour ressentir la peau fraiche de ses mammifères à la proximité des poissons et autres créatures marines.
Je lui pris donc son visage entre ma main le contact était plaisant, il n'était pas visqueux comme celui de certains batracien non s'était une sorte de mélanine écailleuse faite de chair très proche de la peau humaine.

Je lui tournais le visage de profil regardant ses traits, pas vilaine dans le fond même séduisante étant donné qu'elle était nue.
Je me posais tout de même quelques questions avant d'appelé un potentielle vendeur qui travaillais pour ce fainéant mais si talentueux Kagao.

Et bien en voila une demande plutôt...Particulière je dois dire....Tu n'es pas une de ces fichus sirène qui ne se déplace que part les voies des eau c'est intéressant...As tu une forme humaine ou es ce la ta seul condition physique demoiselle ?!

J'attendais ses réponses notamment qu'elle me dévoile son nom par la même occasion, elle ne savait pour le moment en aucun terme et dépourvu de connaissance de qui j'étais réellement au sein de cette ville.

J'écoutais d'une oreille distraite mais attentif la jeune femme ou plutôt l'hybride qu'elle était tout simplement.
Je l'épiais de mes yeux rouges ils faisaient beau ce jour la et je n'avais pas encore trouvé chaussure à mon pied comme dirait le dicton de certains humains quand ils parlaient d'amour ou de sentiments enfin c'est ce que père m'avait un jour dévoilé alors que je n'étais pas plus haut qu'une des cages posé à même le sol pavé de l'Agora Dorei'
Je méditais, plus je la contemplais et plus je sentais en moi une insatiable envie de la posséder, de l'avoir pour moi cette créature...Cette frêle jeune femme le corps émergé dans l'eau je laissais délicatement ma main lâcher son visage avant de remettre mon gant je cherchais du coin de l'oeil un vendeur ou un assistant de Kagao qui visiblement n'était pas la aujourd'hui.

Je reposais mes yeux avide telle qu'un enfant voyant son premier véritable cadeau ne voulant le lâcher des yeux.
Je voulais la rassurer mais d'autres questions me trottaient encore au fond de l'esprit des questions sur l'aspect pratique du moyen de transport à son mode de vie etc etc.

Dis moi jeune hybride es ce que le fait de ne pas être dans l'eau t'affaiblis ou te rendrait dans un état de faiblesse important au point de mourir?Il faut que je sache si tu cours un risque sur le chemin du retour si tu n'es pas en contact avec l'eau...

Je fus à la fois plus enjoué et soulagé que celle ci ne risquait pas de me claquer entre les doigts si elle devait sortir de l'eau et faire une longue marche ou un trajet plus ou moins arpentez par les grands pèlerins ayant le courage de marcher durant de longues heures sous le soleil implacable de cette île se reflétant dans la mer bleu azur au bas des côtes escarpées.
Je réagis positivement faisant signe à un des vendeurs assistants de ce grippe sous de Kagao, combien me vaudrait cette ravissante créature ? Ah l'argent...Kagao ne s'en lassera jamais on dirai, je pari qu'il est l'un de ces cinglés à remplir sa baignoire d'Oriklos et de faire voler les billets dans sa chambre au dessus de sa tête.
Enfin bref il mit pas longtemps à venir son incapable commanditaire s'était peut être un nouveau vu que sa tronche de praline ne me revenait pas du tout et pourtant j'en es de la mémoire.
De mon côté le temps que celui ci remplisse une paperasse comme quoi j'étais apte à le payer et à prendre en charge l'hbyride je dis d'un ton un peu moqueur m'accoudant au sorte d'aquarium les yeux toujours fixé sur ma futur soumise.

Il y a un peu d'eau sur mon domaine mais j'ai une piscine d'intérieure au manoir je pense que cela devrait faire l'affaire pour te rendre heureuse se sera toujours mieux que ce vulgaire bocal transparent dans lequel tu attend jour après jour.

L'assistant me fit signe de signer au bas de la feuille, prenant mon stylo de mon veston de cuir je fis un vif geste du poignée dévoilant la signature puis imposa mon sceau par dessus celle ci de quoi faire comprendre au petit nouveau qui j'étais et qu'avec moi il valait mieux ne pas plaisanter.
Je finis par lui donner une liasse de billet, elle était pas hors de prix non plus mais elle valait son pesant d'or.
Je lui prit la main délicatement lui déposant un doux baiser puis l'encourageais à sortir du bocal emplit d'eau.

Te voila libre ma jolie...Enfin presque mais c'est mieux que rien!

Je la contemplais et plus mes yeux, mon regard posé sur ma propriété s'intensifiait plus ma pupille, mon iris écarlates semblait ravivée en moi une flamme brûlant, me consumant intérieurement à la fois intensément et à petit feu s'était une flamme qui brûlait, quelque chose de simple, de chaleureux, de doux s'était l'instinct sauvage et primaire qui était entré en jeux dans cette instant précis et je ne pouvais rien rêver de mieux.
Nous avions été vite en besogne et il fallait le dire je n'y étais pas allé de main morte.
En effet j'en avais même oublier de donner mon nom, concrètement sur un moment telle que celui ci pour qui suis je entrain de passer ? Un pervers ? Un inconscient ? Un simple acheteur ?
La honte me montait aux joues s'était...Affreux voir même horrible non, non vraiment s'était honteux de se faire reprendre sur propre nom.
La prochaine fois, oui la prochaine fois je ne ferai pas une erreur aussi subtile et idiote que celle ci me faisant passé pour un de ces simples d'esprits...Je veux dire, crier au fond de mes tempes et de mon esprit * Bon sang Wiver tu es l'un des Fondateurs !!! Comporte toi comme telle! Comporte toi comme le bras armée de la chevalerie ici bas aux milieu des démons et des anges! *

Je la saluais comme si rien n'était, comme si tout ce que je pensait de moi sur cette instant n'avait été qu'un mauvais rêve, une simple pensée qui n'avait pas atteint l'être supérieure que j'étais en répondant calmement de mon regard à la fois perçant et insistant souriant en coin d'un air un peu provoquant caressant la main que je tenais avec une certaine tension palpable tout comme certains vampire qui vous font du charme avant de lancer leur dévolu, leur hypnose sur vous.

Je suis Wiver Blades.* courte pause puis je reprend * L'un des 12 fondateurs de cette île, de cette ville Atlantica.

A ces mots je finissais par déposer un doux baiser à la fois vif et long ne lâchant pour rien au monde son regard des mes iris pourpres.

Bien Allons y très chère....

Ah ces mots je la tenais toujours par cette main droite aussi délicate que celle d'une simple humaine.Je nous téléportais instinctivement en face à la grande porte de bois coulissante faite de noyer aux ornementales reflétant et représentant le corail, les récifs d'un bois de chênes légèrement vernis.
je laissais ma main gauche faire glisser la porte de bois massif dans un tintement silencieux sans aucun frottement quelconque laissant apparaître la somptueuse piscine ainsi qu'un peu plus à gauche la porte menant à sa chambre.

Ici se sera ton petit paradis....

Je lui lâchais la main m'effaçant, restant en arrière, pour la laissé découvrir, s'aventurer dans ce lieu encore inconnu et pourtant je l'espère magnifique à ces yeux.

[Suite du rp dans ma demeure à toi de rp =) ]